Pretty Girls Make Graves
Elan Vital |
Label :
Matador |
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Après les retours peu convaincants de Trail Of Dead et de Milemarker en 2005, c'est au tour de Pretty Girls Make Graves de tenter de redorer le blason d'une scène post-hardcore américaine un peu en manque de souffle et de créativité ces derniers mois.
Contrairement aux premiers cités, l'Elan Vital de PGMG est réellement synonyme de nouveau souffle pour le groupe, en explorant de nouveaux angles tout en gardant une fraîche créativité intelligemment inspirée.
Si la bande menée par Mademoiselle Zolo se dérobait autrefois dans une alternance de titres excellentissimes entremêlés de miettes malencontreusement inintéressantes et accompagnatrices d'une certaine diète inventive, il n'est jamais question ici de négligence ni d'insuffisance.
La chanteuse américaine élève enfin avec fermeté sa formation d'un bout à l'autre de l'album en traduisant de nets progrès dans ses envolées vocales.
Tantôt remuant dans les cendres d'un At The Drive-In efféminé, d'un Murder City Devils discipliné ou d'un Milemarker posé et inventif, PGMG se pose également –et principalement- avec élégance sur les branches d'un rock intimiste et émouvant.
Apparemment décidés à se défaire si possible d'une étiquette emo, les excités et expérimentés artistes de Seattle réussissent ici avec adresse leur retour sur le devant de la scène, mais aussi et surtout leur entrée dans le rock posé, intelligent et profond.
Contrairement aux premiers cités, l'Elan Vital de PGMG est réellement synonyme de nouveau souffle pour le groupe, en explorant de nouveaux angles tout en gardant une fraîche créativité intelligemment inspirée.
Si la bande menée par Mademoiselle Zolo se dérobait autrefois dans une alternance de titres excellentissimes entremêlés de miettes malencontreusement inintéressantes et accompagnatrices d'une certaine diète inventive, il n'est jamais question ici de négligence ni d'insuffisance.
La chanteuse américaine élève enfin avec fermeté sa formation d'un bout à l'autre de l'album en traduisant de nets progrès dans ses envolées vocales.
Tantôt remuant dans les cendres d'un At The Drive-In efféminé, d'un Murder City Devils discipliné ou d'un Milemarker posé et inventif, PGMG se pose également –et principalement- avec élégance sur les branches d'un rock intimiste et émouvant.
Apparemment décidés à se défaire si possible d'une étiquette emo, les excités et expérimentés artistes de Seattle réussissent ici avec adresse leur retour sur le devant de la scène, mais aussi et surtout leur entrée dans le rock posé, intelligent et profond.
Très bon 16/20 | par X_Cosmonaut |
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