Lee Ranaldo
Hall Ranaldo Hooker - Oasis Of Whispers |
Label :
Alien 8 |
||||
Quand un musicien free-jazz, , William Hooker , rencontre un des membres de Sonic Youth, Lee Ranaldo, en compagnie d'un multi instrumentiste réputé, Glenn Hall , on est en mesure de s'attendre à un voyage expérimental.
Cette libre improvisation musicale se caractérise par des alternances atmosphériques bruitistes et des envolées plus jazz. L'expérience est des plus déroutantes. Le long "Conference Call" est un véritable délire de bidouillages sonores et d'instrumentation en direct qui ne peut laisser indifférent en première écoute. En fait votre avis sur ce morceau dépend sûrement de vos connaissances sur le free-jazz et sur l'œuvre de John Coltrane en particulier, artiste reconnu comme influence majeur de ce disque. Selon les spécialistes ce genre d'expérimentation se pratique depuis longtemps déjà, pour les autres, dont je fais parti, ces déconstructions soniques fascinent ou rebutent. Je retiendrai principalement trois morceaux, "Blue Seven" d'une rare élégance, le fameux "Conference Call" dans lequel il est si bon de se perdre dans ses méandres musicaux et enfin "Views From Bellevue" parfaite synthèse de l'album. Le reste est imparfait comme "Blow" et son énergie mal utilisé et parfois incompréhensible.
Imparfait mais convaincant dans ces meilleurs moments. A écouter tout simplement.
Cette libre improvisation musicale se caractérise par des alternances atmosphériques bruitistes et des envolées plus jazz. L'expérience est des plus déroutantes. Le long "Conference Call" est un véritable délire de bidouillages sonores et d'instrumentation en direct qui ne peut laisser indifférent en première écoute. En fait votre avis sur ce morceau dépend sûrement de vos connaissances sur le free-jazz et sur l'œuvre de John Coltrane en particulier, artiste reconnu comme influence majeur de ce disque. Selon les spécialistes ce genre d'expérimentation se pratique depuis longtemps déjà, pour les autres, dont je fais parti, ces déconstructions soniques fascinent ou rebutent. Je retiendrai principalement trois morceaux, "Blue Seven" d'une rare élégance, le fameux "Conference Call" dans lequel il est si bon de se perdre dans ses méandres musicaux et enfin "Views From Bellevue" parfaite synthèse de l'album. Le reste est imparfait comme "Blow" et son énergie mal utilisé et parfois incompréhensible.
Imparfait mais convaincant dans ces meilleurs moments. A écouter tout simplement.
Correct 12/20 | par Mozz |
En ligne
Au hasard Balthazar
Sondages