Infadels
We Are Not The Infadels |
Label :
Wall Of Sound |
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Infadels... ce nom ne vous dit (encore) rien ?
Pourtant, notamment suite à leur single "I Can't Get Enough" sorti en début d'année 2005, ces anglais se sont vus ouvrir cet été les portes de certains festivals de renom, tels que le Reading/Leeds ou encore le Pukkelpop.
Alors, quoi de plus logique que de concrétiser tout cela avec un premier album ? C'est donc désormais chose faite pour ce jeune groupe, qu'on chuchote un peu partout comme une des sensations possibles de l'année 2006, essentiellement grâce à l'euphorie festive qu'ils parviennent à sublimer, tout en restant maîtres de leur orchestration réfléchie et calculée.
D'emblée, leur équation 'pop+electronica=bien-être' s'inscrit dans l'air de nos organes auditifs. D'une façon très simple, certes, mais cela fonctionne plutôt bien. Et même si suite à leur univers plus que jamais punk-rock-electro, on pense irrémédiablement à des groupes comme Radio 4, Simian ou encore Hot Hot Heat, We Are Not The Infadels débutant avec la fougue ravissante de "Love Like Semtex", s'inscrit immédiatement comme un album à écouter un nombre incalculable de fois sans jamais s'en lasser. Et si l'on n'atteint jamais les sommets de jubilation sonore ni de révolution sonique, peu importe ; c'est frais et sensuel !
"I Can't Get Enough" -single précité- figure donc sur la galette et s'avère, heureusement, être l'un des titres les plus ennuyeux (ce qui donne un peu une idée du niveau brillant atteint par Infadels).
"Topboy" est quant à lui beaucoup plus marqué par l'exotisme et la bigarrure. Peut-être le prochain tube ?
Parce que de tubes, il en est énormément question ici ("Jagger '67" et "Give Yourself To Me" étant déjà eux aussi, ensorcelés sous le format réduit depuis la fin de l'été). "Murder That Sound" peut également prétendre à ce statut dans une formule peut-être moins dansante mais certainement tout aussi entêtante.
Bref, Infadels délivre ici, non pas l'album de l'année, mais en tous cas le premier emballage volcanique de la cuvée 2006, destiné à vous faire danser et sourire une bonne partie de l'année.
Abritez les canapés et sortez le champagne, ça va sauter !
Pourtant, notamment suite à leur single "I Can't Get Enough" sorti en début d'année 2005, ces anglais se sont vus ouvrir cet été les portes de certains festivals de renom, tels que le Reading/Leeds ou encore le Pukkelpop.
Alors, quoi de plus logique que de concrétiser tout cela avec un premier album ? C'est donc désormais chose faite pour ce jeune groupe, qu'on chuchote un peu partout comme une des sensations possibles de l'année 2006, essentiellement grâce à l'euphorie festive qu'ils parviennent à sublimer, tout en restant maîtres de leur orchestration réfléchie et calculée.
D'emblée, leur équation 'pop+electronica=bien-être' s'inscrit dans l'air de nos organes auditifs. D'une façon très simple, certes, mais cela fonctionne plutôt bien. Et même si suite à leur univers plus que jamais punk-rock-electro, on pense irrémédiablement à des groupes comme Radio 4, Simian ou encore Hot Hot Heat, We Are Not The Infadels débutant avec la fougue ravissante de "Love Like Semtex", s'inscrit immédiatement comme un album à écouter un nombre incalculable de fois sans jamais s'en lasser. Et si l'on n'atteint jamais les sommets de jubilation sonore ni de révolution sonique, peu importe ; c'est frais et sensuel !
"I Can't Get Enough" -single précité- figure donc sur la galette et s'avère, heureusement, être l'un des titres les plus ennuyeux (ce qui donne un peu une idée du niveau brillant atteint par Infadels).
"Topboy" est quant à lui beaucoup plus marqué par l'exotisme et la bigarrure. Peut-être le prochain tube ?
Parce que de tubes, il en est énormément question ici ("Jagger '67" et "Give Yourself To Me" étant déjà eux aussi, ensorcelés sous le format réduit depuis la fin de l'été). "Murder That Sound" peut également prétendre à ce statut dans une formule peut-être moins dansante mais certainement tout aussi entêtante.
Bref, Infadels délivre ici, non pas l'album de l'année, mais en tous cas le premier emballage volcanique de la cuvée 2006, destiné à vous faire danser et sourire une bonne partie de l'année.
Abritez les canapés et sortez le champagne, ça va sauter !
Très bon 16/20 | par X_Cosmonaut |
Posté le 29 janvier 2006 à 21 h 03 |
Alors voilà, nouveau groupe anglais (je sais,encore...) composé de trois jeunes anglo-saxons, The Infadels nous pond ici son premier disque aux allures de rock-electro; 11 titres pour un peu plus de 45 minutes de bonheur...
Car en effet, si certains parleraient ici de "pompage" et autres "ouais c'est déjà vu on connait", soit, c'est déjà vu, et c'est pas innovant, je l'accorde. Certains morceaux nous donnent même l'impression de re-écouter un vieux tube d'Emile & Images ("Murder That Sound"), mais c'est jouissif, incroyablement jouissif! Impossible de ne pas frémir du coin des lèvres les paroles d'un "Love Like Semtex" ou de bouger la tête tel un demeuré sur "Reality Tv"...
La galette s'enfile vite et on en redemande: musique joussive, tout ça est parfaitement dosé, rien n'est a jeter, le cd alterne guitare percutante et arrangements électroniques, tout s'enchaîne et chaque piste est réellement bien huilée...
Car en effet, si certains parleraient ici de "pompage" et autres "ouais c'est déjà vu on connait", soit, c'est déjà vu, et c'est pas innovant, je l'accorde. Certains morceaux nous donnent même l'impression de re-écouter un vieux tube d'Emile & Images ("Murder That Sound"), mais c'est jouissif, incroyablement jouissif! Impossible de ne pas frémir du coin des lèvres les paroles d'un "Love Like Semtex" ou de bouger la tête tel un demeuré sur "Reality Tv"...
La galette s'enfile vite et on en redemande: musique joussive, tout ça est parfaitement dosé, rien n'est a jeter, le cd alterne guitare percutante et arrangements électroniques, tout s'enchaîne et chaque piste est réellement bien huilée...
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