The Fall Of Troy
Doppelganger |
Label :
Equal Vision |
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Deuxième album pour ces jeunes furieux, Doppelganger n'apporte rien de nouveau à la patte déjà reconnaissable du trio -si ce n'est plus de folie dans un disque plus soigné-, mais conforte les espoirs placés en cette formation prometteuse.
Constat immédiat : quatre relectures du premier album ! Cela laisse tout d'abord perplexe, mais on s'aperçoit vite que les titres sont méconnaissables, et ce n'est pas plus mal ... L'entame "I Just Got This Symphony Goin' " rentre directement dans le vif du sujet par son solo épileptique : les bonnes surprises sont de la partie ! Le groupe s'aventure dans tous les sens d'un rock hyper ventilé, sans une once de temps mort. On ne sait pas à quoi s'attendre au détour des thèmes à la pelle de ce redoutable cheval de Troie : pour unique exemple parmi une foultitude, le solo très 70's de "Ace One, Scene One" semblant sortir de nulle part. On est prit de vitesse par la fulgurance des exécutions soniques, par la solide mise en place, par le débordement d'idées, par les mélodies vocales proche de Glassjaw, et les hurlements screamo ...
On finit par ne plus savoir où donner de la tête ("The Holy Tape") chez ce The Mars Volta puissance mille ! On en ressort à bout de souffle, mais (irrémé)diablement conquit.
Coup de sabot, sur coup de sabot, sur coup de sabot ...
Constat immédiat : quatre relectures du premier album ! Cela laisse tout d'abord perplexe, mais on s'aperçoit vite que les titres sont méconnaissables, et ce n'est pas plus mal ... L'entame "I Just Got This Symphony Goin' " rentre directement dans le vif du sujet par son solo épileptique : les bonnes surprises sont de la partie ! Le groupe s'aventure dans tous les sens d'un rock hyper ventilé, sans une once de temps mort. On ne sait pas à quoi s'attendre au détour des thèmes à la pelle de ce redoutable cheval de Troie : pour unique exemple parmi une foultitude, le solo très 70's de "Ace One, Scene One" semblant sortir de nulle part. On est prit de vitesse par la fulgurance des exécutions soniques, par la solide mise en place, par le débordement d'idées, par les mélodies vocales proche de Glassjaw, et les hurlements screamo ...
On finit par ne plus savoir où donner de la tête ("The Holy Tape") chez ce The Mars Volta puissance mille ! On en ressort à bout de souffle, mais (irrémé)diablement conquit.
Coup de sabot, sur coup de sabot, sur coup de sabot ...
Parfait 17/20 | par X_YoB |
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