Shellac
The Futurist |
Label :
Touch And Go |
||||
The Futurist est un vinyle limité sorti avant l'album de 1998. Une demi-heure de dose pour les amateurs sous forme d'instrumentaux ou bidouilles.
Après un prologue de navette spatiale dont il est assez peu coutumier (bruits en tout genre comme celui d'une radio brouillée), le groupe précipite son arrivée bruitiste charleston au pied. Surprenant ! D'autant plus surprenant lorsque l'on s'aperçoit que presque chaque éxécution organique est intoxiquée de sons troublants, pas forcement tirés de la guitare de Albini (NB: Puisqu'on parle du monsieur, le son du groupe est à son habitude, irréprochable).
Le groupe se tient pourtant à ce qu'il sait faire le mieux, un rock tendu, même si la batterie semble être là plus présente. Un lien concret face aux éxpérimentations pas très originales (bouche-trous ?), mais qui ont le mérite de nous cacher le début d'un morceau. On en est plus déstabilisé qu'à l'habitude, pas de repères temporels.
La face B est à voir comme un seul et même titre obstiné (on remarque une note de cuivre discrète), mais corrompu à la sauce du trio par un long interlude. Suit un épilogue des plus jouissifs pour les connaisseurs, crispé comme il se doit.
Shellac débute ici son odysée de l'Espace.
Après un prologue de navette spatiale dont il est assez peu coutumier (bruits en tout genre comme celui d'une radio brouillée), le groupe précipite son arrivée bruitiste charleston au pied. Surprenant ! D'autant plus surprenant lorsque l'on s'aperçoit que presque chaque éxécution organique est intoxiquée de sons troublants, pas forcement tirés de la guitare de Albini (NB: Puisqu'on parle du monsieur, le son du groupe est à son habitude, irréprochable).
Le groupe se tient pourtant à ce qu'il sait faire le mieux, un rock tendu, même si la batterie semble être là plus présente. Un lien concret face aux éxpérimentations pas très originales (bouche-trous ?), mais qui ont le mérite de nous cacher le début d'un morceau. On en est plus déstabilisé qu'à l'habitude, pas de repères temporels.
La face B est à voir comme un seul et même titre obstiné (on remarque une note de cuivre discrète), mais corrompu à la sauce du trio par un long interlude. Suit un épilogue des plus jouissifs pour les connaisseurs, crispé comme il se doit.
Shellac débute ici son odysée de l'Espace.
Pas mal 13/20 | par X_YoB |
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