Lisa Gerrard
The Mirror Pool |
Label :
4AD |
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Dead Can Dance existe encore lorsque Lisa Gerrard décide de publier son premier album solo: The Mirror Pool, et c'est à "Violina: The Last Embrace" qu'incombe la lourde tâche d'ouvrir cet opus. Sur ce titre, comme sur quatre autres d'ailleurs, l'Australienne est accompagnée d'un orchestre philharmonique dont les cordes occupent magnifiquement l'espace sonore, jusqu'à ce qu'arrive "l'événement" tant attendu: l'apparition de cette voix limpide, envoûtante et sublime; la voix de Lisa Gerrard évidemment, fidèle à elle-même. Ces 5 minutes 44 sont à l'image de l'album tout entier: il n'est plus question de Dead Can Dance, la chanteuse s'appropriant littéralement toute l'attention et ne faisant en aucun cas pâle figure face à son duo avec Brendan Perry.
Toujours adepte des atmosphères intimistes, Lisa Gerrard nous offre quelques magnifiques chansons, dont l'orchestration et les compositions démontrent qu'elle n'a rien perdu de son talent: telles ces "Persian Love Song: The Silver Gun" ou "Sanvean: I Am Your Shadow" qui présentent notre artiste comme faisant preuve d'une beauté et d'une pureté déconcertantes. Bien entendu, certains morceaux de ce premier essai solo sont proches de l'univers de Dead Can Dance. Ainsi "The Rite" ou "Ajhon" possèdent un mysticisme qui n'est pas forcément très éloigné des ambiances de The Serpent's Egg, surtout le premier cité. De plus, Lisa Gerrard parvient à magnifier littéralement certains thèmes, comme "Lorelei" qui réussit à associer élégance, finesse et légèreté; trois ingrédients que l'on retrouve rrégulièrement ici ("Venteles" ou "Celon" notamment).
The Mirror Pool est donc est réel bonheur pour qui souhaite pénétrer des atmosphères particulières: à la fois belle, ensorcelante ou éthérée. Faisant preuve d'un talent indéniable et chantant d'une voix si belle et... divine, Lisa Gerrard s'impose comme une chanteuse imcoparable et comme une compositrice hors-pair et magistrale.
The Mirror Pool n'est rien d'autre qu'un chef-d'œuvre inclassable, totalement subjuguant et doté d'un pouvoir fascinant hors du commun. Un coup de maître...
Toujours adepte des atmosphères intimistes, Lisa Gerrard nous offre quelques magnifiques chansons, dont l'orchestration et les compositions démontrent qu'elle n'a rien perdu de son talent: telles ces "Persian Love Song: The Silver Gun" ou "Sanvean: I Am Your Shadow" qui présentent notre artiste comme faisant preuve d'une beauté et d'une pureté déconcertantes. Bien entendu, certains morceaux de ce premier essai solo sont proches de l'univers de Dead Can Dance. Ainsi "The Rite" ou "Ajhon" possèdent un mysticisme qui n'est pas forcément très éloigné des ambiances de The Serpent's Egg, surtout le premier cité. De plus, Lisa Gerrard parvient à magnifier littéralement certains thèmes, comme "Lorelei" qui réussit à associer élégance, finesse et légèreté; trois ingrédients que l'on retrouve rrégulièrement ici ("Venteles" ou "Celon" notamment).
The Mirror Pool est donc est réel bonheur pour qui souhaite pénétrer des atmosphères particulières: à la fois belle, ensorcelante ou éthérée. Faisant preuve d'un talent indéniable et chantant d'une voix si belle et... divine, Lisa Gerrard s'impose comme une chanteuse imcoparable et comme une compositrice hors-pair et magistrale.
The Mirror Pool n'est rien d'autre qu'un chef-d'œuvre inclassable, totalement subjuguant et doté d'un pouvoir fascinant hors du commun. Un coup de maître...
Exceptionnel ! ! 19/20 | par X_Jpbowersock |
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