The Bats
The Deep Set |
Label :
Flying Nun |
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"État de contentement que créé chez quelqu'un la satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir." Ceci est la définition du mot plaisir telle que l'on peut la lire dans la version en ligne du Larousse. Je ne pense pas que l'écoute de ce disque relève d'une tendance mais bel et bien d'un besoin et d'un désir, car le plaisir que j'éprouve à l'écoute me fait venir de ces sourires béats qui doivent intrigués mon entourage lorsque je suis pris en flagrant délit. Je dois ajouter sans aucune honte que la nostalgie est ici également à l'œuvre, cette nostalgie qui me transporte trente en arrière, époque ou je découvrais tous ces groupes néo-zélandais. Et moi, qui suis relativement intransigeant avec mes groupes et artistes préférés lorsqu'ils font du surplace en refaisant toujours la même chanson, je me trouve ici démuni d'expliquer pourquoi ceci ne s'applique pas à The Bats (ou The Chills, the Clean, the Verlaines, etc, etc...).
Est-ce du simplement à la beauté des paysages, ceux que vous avez entr'aperçus dans Le Seigneur Des Anneaux, ses somptueuses forêts qui donnent ce côté boisé à la musique de The Bats ? Toujours accompagnée par le vent qui imprime le mouvement de tous ces titres pour donner le relief nécessaire à ces hymnes simplissimes et addictifs conduits par la voix nonchalante de Robert Scott et les arpèges de guitare de Kaye Woodward. De temps à autres on rentre en ville et le propos s'électrise légèrement comme pour s'encanailler dans les tavernes de la ville.
Même si aujourd'hui mes préférences vont vers des titres comme "Antler" ou "Not so good", il est difficile de sortir un titre plus qu'un autre dans cette suite de vignettes pop. Tout ici est homogène mais jamais linéaire. Les variations de rythme (aussi infimes soient elles) évitent essoufflement et ennui. Le fait que le line up du groupe n'a pas changé depuis le premier album Daddy's highway (1987) doit certainement y être pour beaucoup.
Alors comme je l'ai dit un peu plus haut, voix nonchalante, guitares cristallines et mid tempo, voilà un bon résumé de cette cuvée 2017.
Est-ce du simplement à la beauté des paysages, ceux que vous avez entr'aperçus dans Le Seigneur Des Anneaux, ses somptueuses forêts qui donnent ce côté boisé à la musique de The Bats ? Toujours accompagnée par le vent qui imprime le mouvement de tous ces titres pour donner le relief nécessaire à ces hymnes simplissimes et addictifs conduits par la voix nonchalante de Robert Scott et les arpèges de guitare de Kaye Woodward. De temps à autres on rentre en ville et le propos s'électrise légèrement comme pour s'encanailler dans les tavernes de la ville.
Même si aujourd'hui mes préférences vont vers des titres comme "Antler" ou "Not so good", il est difficile de sortir un titre plus qu'un autre dans cette suite de vignettes pop. Tout ici est homogène mais jamais linéaire. Les variations de rythme (aussi infimes soient elles) évitent essoufflement et ennui. Le fait que le line up du groupe n'a pas changé depuis le premier album Daddy's highway (1987) doit certainement y être pour beaucoup.
Alors comme je l'ai dit un peu plus haut, voix nonchalante, guitares cristallines et mid tempo, voilà un bon résumé de cette cuvée 2017.
Bon 15/20 | par Hpl |
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