Josy & The Pony Vs The Poneymen
Hippodrone Club |
Label :
Rockerill |
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[Chronique en aveugle #11] Le rédacteur ne savait rien de l'identité de l'artiste dont il a chroniqué le présent album.
Difficile exercice que de vous parler d'un disque dont j'ignore tout. Pour situer la bête c'est dix titres, majoritairement courts, parfois instrumentaux parfois chantés en français.
Ça commence par un instrumental qui sonne un peu comme du revival d'un croisement surf-rock et garage rock. C'est frais, sympathique mais on pourrait trouver ça chez grand nombre de groupes. Le deuxième titre nous met déjà beaucoup plus dans l'ambiance. Une voix féminine et juvénile nous déballe quelques débilités : "je suis une ânesse topless sur une plage en Martinique, t'est trop balèze". Ça sonne comme une chanson des années 60 de Gainsbourg, la naïveté et le second degré en moins. Le genre de truc certainement très bien sur scène.
Troisième et quatrième titre et les âneries continuent avec un titre dont le refrain n'est rien d'autre que Hi Hue Hi Han et un morceau commençant par, ça ne s'invente pas, "ce soir on va faire la fête avec les poneys". Musicalement on reste toujours dans un style rétro entre pop bubble gum et une version gentillette et rigolote des Cramps.
On enchaîne ensuite avec un titre plus Noisy, toujours chanté en français. Pas grand-chose à dire sur les paroles car pour être franc je ne comprends qu'un mot sur deux. Mais il semble qu'il y ait toujours une mention à un poney.
Après le titre 9, "j'en ai marre des poneys", cette fois c'est sûr c'est un concept album, l'album se clôture comme il a commencé sur un instrumental psychédélique de près de dix minutes, qui démarre au trot et qui finit au galop. Quelle meilleure conclusion pour un album hippique ?
En conclusion j'ai dû chroniquer le premier album de Poney Rock. Xsilence a-t-il été sponsorisé par TURF magazine ?
Difficile exercice que de vous parler d'un disque dont j'ignore tout. Pour situer la bête c'est dix titres, majoritairement courts, parfois instrumentaux parfois chantés en français.
Ça commence par un instrumental qui sonne un peu comme du revival d'un croisement surf-rock et garage rock. C'est frais, sympathique mais on pourrait trouver ça chez grand nombre de groupes. Le deuxième titre nous met déjà beaucoup plus dans l'ambiance. Une voix féminine et juvénile nous déballe quelques débilités : "je suis une ânesse topless sur une plage en Martinique, t'est trop balèze". Ça sonne comme une chanson des années 60 de Gainsbourg, la naïveté et le second degré en moins. Le genre de truc certainement très bien sur scène.
Troisième et quatrième titre et les âneries continuent avec un titre dont le refrain n'est rien d'autre que Hi Hue Hi Han et un morceau commençant par, ça ne s'invente pas, "ce soir on va faire la fête avec les poneys". Musicalement on reste toujours dans un style rétro entre pop bubble gum et une version gentillette et rigolote des Cramps.
On enchaîne ensuite avec un titre plus Noisy, toujours chanté en français. Pas grand-chose à dire sur les paroles car pour être franc je ne comprends qu'un mot sur deux. Mais il semble qu'il y ait toujours une mention à un poney.
Après le titre 9, "j'en ai marre des poneys", cette fois c'est sûr c'est un concept album, l'album se clôture comme il a commencé sur un instrumental psychédélique de près de dix minutes, qui démarre au trot et qui finit au galop. Quelle meilleure conclusion pour un album hippique ?
En conclusion j'ai dû chroniquer le premier album de Poney Rock. Xsilence a-t-il été sponsorisé par TURF magazine ?
Pas mal 13/20 | par Chaurionde |
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