Mütterlein
Orphans Of The Black Sun (EP) |
Label :
Sundust |
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Quand Vindsval (Blut Aus Nord) monte un label (Sunburst Records en l'occurrence), on est très attentif à ses signatures et à Mütterlein en particulier.
Avant d'être le nom du duo français (Marion Leclercq, Christophe Chavanon), Mutterlein est d'abord un titre de Nico dont l'œuvre solo novatrice pourrait être l'une des principales influences des deux titres composant l'E.P. Orphans Of The Black Sun. On y retrouve l'orgue, l'aspect déstructuré, les réminiscences médiévales, l'ambiance sépulcrale, le tout remis au goût du jour : une musique tournée vers le passé mais résolument moderne dans son interprétation et ses choix instrumentaux. Quels sont-ils ? On peut parler de Dark Folk, légèrement industriel, d'autres préféreront peut-être parler de Haunted Rock mais ce serait vraiment pour donner un aspect nouveau à ce qui ne l'est pas.
"Lesbians Whores And Witches" puis "Heirs Of Doom" auraient pu sortir au cœur des années 80. On y retrouve la froideur de l'époque, l'expérimentation, le goût pour les crépuscules avec, en ligne de mire, Bauhaus, Rosa Crux ou Lydia Lunch avec cependant un penchant plus affirmé pour la saleté sonore, les notes crasseuses.
Avec un disque de cette qualité, j'attends impatiemment la sortie de l'album, prévu en avril de cette année et d'ores et déjà disponible en pré commande sur le bandcamp du label.
Avant d'être le nom du duo français (Marion Leclercq, Christophe Chavanon), Mutterlein est d'abord un titre de Nico dont l'œuvre solo novatrice pourrait être l'une des principales influences des deux titres composant l'E.P. Orphans Of The Black Sun. On y retrouve l'orgue, l'aspect déstructuré, les réminiscences médiévales, l'ambiance sépulcrale, le tout remis au goût du jour : une musique tournée vers le passé mais résolument moderne dans son interprétation et ses choix instrumentaux. Quels sont-ils ? On peut parler de Dark Folk, légèrement industriel, d'autres préféreront peut-être parler de Haunted Rock mais ce serait vraiment pour donner un aspect nouveau à ce qui ne l'est pas.
"Lesbians Whores And Witches" puis "Heirs Of Doom" auraient pu sortir au cœur des années 80. On y retrouve la froideur de l'époque, l'expérimentation, le goût pour les crépuscules avec, en ligne de mire, Bauhaus, Rosa Crux ou Lydia Lunch avec cependant un penchant plus affirmé pour la saleté sonore, les notes crasseuses.
Avec un disque de cette qualité, j'attends impatiemment la sortie de l'album, prévu en avril de cette année et d'ores et déjà disponible en pré commande sur le bandcamp du label.
Bon 15/20 | par Arno Vice |
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