Hushpuppies
Paris [Trabendo] - jeudi 23 mars 2006 |
C'est très con pour Dorian Pimprenel, ils avaient l'air sympa, aimables, mais chacun seul sur son instrument, à 8 sur scène on ne distinguait soniquement ni les 2 clavieristes, ni les 2 guitaristes, ni les chanteurs (dont une chanteuse), par contre de très bonnes fraises.
Pas vraiment un tour de chauffe alors, toute la fibre électrique du Trabendo allait exploser avec les Hushpuppies : début calme et planant ("Automatic 6") puis Alice in Wonderland, qui a l'immense avantage de s'énerver en plein milieu et d'introduire ce que tout le monde attend - d'ailleurs elle a du être conçue pour ca : du rock (Ha ! "Pale Blue Eyes", Ha ! "Single", Ha ! "You're Gonna Say Yeah", Ha ! "Hushpuppies"), joué par 5 types en totale harmonie (soit : un groupe). A partir de là un peu plus d'une heure de concert névrotique, épileptique, psychédélique (les jeux de couleur des spots qui hypnotisent et les passages obsédants qui donnent des spasmes de danse) et 'heavydement' sexy : se seraient-ils entraînés, ces très chers Hushpuppies, gravures de mode, à faire des poses tellement pleines de style (le chanteur saute vraiment très haut) ?
Pour ma part de l'asthme, une crampe, et la tête agressée par quelques c****** de slameurs sans éducation qui manifestement oubliaient que l'on est plusieurs à vouloir profiter d'un concert (fin de la phase rancune).
Est-ce que dire qu'on a assisté à un grand concert de rock suffirait ?
Un bon soufflet de Hushpuppies, le coup bien envoyé, plein d'overdrive et de sueur, et de chansons (et ça le showcase à la fnac était l'occasion de s'en rendre compte, les Hushpuppies ont surtout des chansons avant de faire du rock). Les Hushpuppies ont rendu le Trabendo enragé. Final psychédélique et concert grandiose. We were trapped, et le furet en tremble encore.
Pas vraiment un tour de chauffe alors, toute la fibre électrique du Trabendo allait exploser avec les Hushpuppies : début calme et planant ("Automatic 6") puis Alice in Wonderland, qui a l'immense avantage de s'énerver en plein milieu et d'introduire ce que tout le monde attend - d'ailleurs elle a du être conçue pour ca : du rock (Ha ! "Pale Blue Eyes", Ha ! "Single", Ha ! "You're Gonna Say Yeah", Ha ! "Hushpuppies"), joué par 5 types en totale harmonie (soit : un groupe). A partir de là un peu plus d'une heure de concert névrotique, épileptique, psychédélique (les jeux de couleur des spots qui hypnotisent et les passages obsédants qui donnent des spasmes de danse) et 'heavydement' sexy : se seraient-ils entraînés, ces très chers Hushpuppies, gravures de mode, à faire des poses tellement pleines de style (le chanteur saute vraiment très haut) ?
Pour ma part de l'asthme, une crampe, et la tête agressée par quelques c****** de slameurs sans éducation qui manifestement oubliaient que l'on est plusieurs à vouloir profiter d'un concert (fin de la phase rancune).
Est-ce que dire qu'on a assisté à un grand concert de rock suffirait ?
Un bon soufflet de Hushpuppies, le coup bien envoyé, plein d'overdrive et de sueur, et de chansons (et ça le showcase à la fnac était l'occasion de s'en rendre compte, les Hushpuppies ont surtout des chansons avant de faire du rock). Les Hushpuppies ont rendu le Trabendo enragé. Final psychédélique et concert grandiose. We were trapped, et le furet en tremble encore.
Parfait 17/20 | par Pandanloeil |
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