Hushpuppies
Paris [Festival Fnac Indétendance - Pont De Sully] - vendredi 11 août 2006 |
Pont de Sully. 18h30. Il fait beau.
Les Daddylonglegz -si je n'écorche pas le nom- passe en premier. Ils sont remarquables, aimables, on bouge bien, on entend tout -guitares, basse et batterie + voix- ; ils sont à la fois dans leur 'truc' et avec nous. A voir. Vivement.
Mais évidemment, c'est pour les Hushpuppies que toute la foule se presse au plus près de la scène, et elle n'a pas tort, ils valent le coup : il suffit d'un premier riff et ça saute, ça lève les bras, ça chante, ça bouge et ça pogote. Car oui, les Hushpuppies ont eu la (mauvaise ?) idée de commencer le concert par deux chansons phares de leur tout premier album, "1975" et "You're Gonna Say Yeah". Bien sûr, les suivantes étaient tout aussi 'excitantes' et l'ennui ne vint pas errer dans la foule (une multitude de pogos, un adolescent s'est deux fois fait reprendre par la sécurité pour avoir vaguement 'slamé', les 'je t'aime' et 'aaaahh iiiiiih' des groupies...) ; c'est d'ailleurs là qu'on peut reconnaître la qualité du groupe : tenir en haleine le public, après avoir chanté deux des meilleurs chansons de l'album.
Vient également se rajouter la totale harmonie des 5 jeunes gens... Un groupe quoi !
Et qu'est-ce qu'ils sautent ! Le bassiste (oh oui ! hum !), le chanteur (genre Ray Ewry en pull à rayures) qui boucle le tout, en une apothéose ultime, un slam, transporté sur plusieurs mètres et délicieusement pris en photo.
Psychédélique, terriblement nerveux, fabuleusement vibrant : il faut être ankyloser pour ne pas bouger. Ou con.
Les Daddylonglegz -si je n'écorche pas le nom- passe en premier. Ils sont remarquables, aimables, on bouge bien, on entend tout -guitares, basse et batterie + voix- ; ils sont à la fois dans leur 'truc' et avec nous. A voir. Vivement.
Mais évidemment, c'est pour les Hushpuppies que toute la foule se presse au plus près de la scène, et elle n'a pas tort, ils valent le coup : il suffit d'un premier riff et ça saute, ça lève les bras, ça chante, ça bouge et ça pogote. Car oui, les Hushpuppies ont eu la (mauvaise ?) idée de commencer le concert par deux chansons phares de leur tout premier album, "1975" et "You're Gonna Say Yeah". Bien sûr, les suivantes étaient tout aussi 'excitantes' et l'ennui ne vint pas errer dans la foule (une multitude de pogos, un adolescent s'est deux fois fait reprendre par la sécurité pour avoir vaguement 'slamé', les 'je t'aime' et 'aaaahh iiiiiih' des groupies...) ; c'est d'ailleurs là qu'on peut reconnaître la qualité du groupe : tenir en haleine le public, après avoir chanté deux des meilleurs chansons de l'album.
Vient également se rajouter la totale harmonie des 5 jeunes gens... Un groupe quoi !
Et qu'est-ce qu'ils sautent ! Le bassiste (oh oui ! hum !), le chanteur (genre Ray Ewry en pull à rayures) qui boucle le tout, en une apothéose ultime, un slam, transporté sur plusieurs mètres et délicieusement pris en photo.
Psychédélique, terriblement nerveux, fabuleusement vibrant : il faut être ankyloser pour ne pas bouger. Ou con.
Excellent ! 18/20 | par Géraldine |
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