JR Ewing
Rennes [Ubu] - vendredi 10 février 2006 |
Après une première partie plus qu'anecdotique assurée par les jeunots de Second Sex (qui profitent sûrement de leurs vacances scolaires pour quitter leur collège de la capitale pour présenter leur rock en province), voici enfin de quoi réveiller les amateurs de rock sévèrement burné et dopé aux amphétamines: JR Ewing !!
Les cinq Norvégiens débarquent sur la (toujours aussi exigüe) scène de l'Ubu afin de présenter leur troisième opus, Maelström, uniquement sorti dans leur pays d'origine pour le moment. Et autant le dire tout de suite, l'Ubu s'apprête à subir une sacrée déferlante de décibels durant une heure ! Démarrant sur les chapeaux de roues, le concert de JR Ewing ne concèdera aucun moment de répit hormis les quelques mots que lâchera Andreas Tylden (visiblement de plus en plus à l'aise au cours de l'évolution du concert) à l'encontre du public rennais. Ce Kurt Cobain norvégien, la guitare en moins (sauf sur de rares passages) et la moustache en plus, cristallise parfaitement toute l'énergie qu'est en mesure de déployer le gang scandinave grâce à son chant navigant entre sa voix emplie de rage et ses éructations radicales. Mais les autres membres ne seront pas en reste non plus, tels les deux guitaristes – Häkon Mella et Erlend Mokkelbost - insufflant les riffs propres à JR Ewing sur un rythme effréné et sur lequel le batteur – Kenneth Lamond - aura tout le luxe de démontrer ses qualités.
Une heure de concert donc, au cours de laquelle le groupe a présenté une grosse partie de son Maelström ("Change Is Nothing (Everything Is)", "Pitch Black Blonde" ou "Fucking & Champagne") laissant présager un album certes efficace, mais peut-être à la tendance plus... "classique" et sage... Wait and See ! Mais évidemment, JR Ewing ne délaissera pas les compositions de ses deux premiers albums en nous offrant entre autres un "The Term In Connection" (de Calling In Dead) et un "Repetition Is Failure" tout simplement prodigieux de rage et d'électricité exacerbées et diablement efficaces.
A la fin de cette soirée, le doute n'était plus possible, ce que je ressentais à l'écoute des albums s'est vérifié sur scène: JR Ewing est l'un des descendants de Botch et Refused. Me voilà désormais convaincu !
Mais alors au fait, qui a bien pu avoir l'idée saugrenue de programmer Second Sex en première partie de JR Ewing ?
Les cinq Norvégiens débarquent sur la (toujours aussi exigüe) scène de l'Ubu afin de présenter leur troisième opus, Maelström, uniquement sorti dans leur pays d'origine pour le moment. Et autant le dire tout de suite, l'Ubu s'apprête à subir une sacrée déferlante de décibels durant une heure ! Démarrant sur les chapeaux de roues, le concert de JR Ewing ne concèdera aucun moment de répit hormis les quelques mots que lâchera Andreas Tylden (visiblement de plus en plus à l'aise au cours de l'évolution du concert) à l'encontre du public rennais. Ce Kurt Cobain norvégien, la guitare en moins (sauf sur de rares passages) et la moustache en plus, cristallise parfaitement toute l'énergie qu'est en mesure de déployer le gang scandinave grâce à son chant navigant entre sa voix emplie de rage et ses éructations radicales. Mais les autres membres ne seront pas en reste non plus, tels les deux guitaristes – Häkon Mella et Erlend Mokkelbost - insufflant les riffs propres à JR Ewing sur un rythme effréné et sur lequel le batteur – Kenneth Lamond - aura tout le luxe de démontrer ses qualités.
Une heure de concert donc, au cours de laquelle le groupe a présenté une grosse partie de son Maelström ("Change Is Nothing (Everything Is)", "Pitch Black Blonde" ou "Fucking & Champagne") laissant présager un album certes efficace, mais peut-être à la tendance plus... "classique" et sage... Wait and See ! Mais évidemment, JR Ewing ne délaissera pas les compositions de ses deux premiers albums en nous offrant entre autres un "The Term In Connection" (de Calling In Dead) et un "Repetition Is Failure" tout simplement prodigieux de rage et d'électricité exacerbées et diablement efficaces.
A la fin de cette soirée, le doute n'était plus possible, ce que je ressentais à l'écoute des albums s'est vérifié sur scène: JR Ewing est l'un des descendants de Botch et Refused. Me voilà désormais convaincu !
Mais alors au fait, qui a bien pu avoir l'idée saugrenue de programmer Second Sex en première partie de JR Ewing ?
Bon 15/20 | par X_Jpbowersock |
Photo par moi-même.
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