The Lanskies
Paris [Point Ephémère] - vendredi 18 novembre 2011 |
Fait froid mi-novembre sur les quais du Canal Saint Martin, on a vraiment hâte de rentrer pour se réchauffer au contact de la foule, écouter un peu de "hot wave", terme utilisé pour réduire la musique de The Lanskies, en opposé à leur influence principale, la new wave.
On passera sur la prestation de Malibu Stacy, groupe belge qui met tout son coeur dans un set qui, de mon point de vue, ne décollera jamais vraiment. Bref.
La bande de Lewis arrive, et sans temps mort, nous livre un concert tout en puissance, en énergie, heureux d'être sur scène ("où il fait très chaud" nous livre un Lewis qui refuse d'enlever son gilet car "en guerre contre les auréoles" (qu'il nous exposera assez vite tout de même) les morceaux s'enchainent, se muent vite en tubes irrésistibles. The Lanskies se métamorphose en machine à danser, invitant quelques jeunes filles sur scène, se mêlant à la foule, puis invitent les premiers rangs à les rejoindre, pour ensuite une tentative de slam collectif géant (avorté forcément).
Le public est très réceptif, connait quasiment chaque riff sur le bout des doigts jusqu'à l'explosion finale de "Bank Holiday", véritable moment de communion dionysiaque, avant de retourner dans le froid, les aléas du métro...
On passera sur la prestation de Malibu Stacy, groupe belge qui met tout son coeur dans un set qui, de mon point de vue, ne décollera jamais vraiment. Bref.
La bande de Lewis arrive, et sans temps mort, nous livre un concert tout en puissance, en énergie, heureux d'être sur scène ("où il fait très chaud" nous livre un Lewis qui refuse d'enlever son gilet car "en guerre contre les auréoles" (qu'il nous exposera assez vite tout de même) les morceaux s'enchainent, se muent vite en tubes irrésistibles. The Lanskies se métamorphose en machine à danser, invitant quelques jeunes filles sur scène, se mêlant à la foule, puis invitent les premiers rangs à les rejoindre, pour ensuite une tentative de slam collectif géant (avorté forcément).
Le public est très réceptif, connait quasiment chaque riff sur le bout des doigts jusqu'à l'explosion finale de "Bank Holiday", véritable moment de communion dionysiaque, avant de retourner dans le froid, les aléas du métro...
Très bon 16/20 | par X_Lok |
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