The Whitest Boy Alive
Rennes [Transmusicales De Rennes - Le Liberté] - jeudi 03 décembre 2009 |
Jeudi 3 décembre, les retrouvailles au Liberté salle beaucoup plus chaleureuse que les hangars d'aéroports du parc expo (quoiqu'en y repensant l'aménagement des hangars pour les salles non musicales est très bien fait mais passons...)
Je débarque donc pour le 1er concert, The Whitest Boy Alive... autant sur myspace j'avais des doutes, musique peu entraînante aux accents post rock, mais ces Norvégiens se sont bouger le cul exprès pour venir ici, il y avait donc anguille sous roche.
Jean-Louis Brossard (vieux programmateur briscard du festival) vient les présenter lui-même; chose que j'ai du voir une ou deux fois ces 3 années, un bel honneur mais c'était également l'occasion d'accueillir les spectateurs au Liberté, ça aurait été Henri Dès qu‘il aurait fait la même chose.
Il se trouve donc que c'est très sympa sur scène, le leader très content d'être ici y ajoute de son antrain et le public aime. Pour la musique c'est la petite surprise, des rythmes pop groove très simples et très rythmées avec comme base un triangle basse-batterie-synthés pour les chansons auxquelles le guitariste vient s'y greffer (avec une Telecaster) ensuite en jouant souvent du note à note (voyez le rapport on peut identifier le type de guitariste à son instrument un hardos rockeur priviligéra une suintante Gibson à la finesse des Telecaster) très rapide pour suivre la rythmique, non ce n'est pas vraiment du math rock The Whitest Boy Alive est trop pop mellow pour ça. Mais c'est très efficace il y a effectivement un gros potentiel sur ce groupe... parce que l'on peut émettre un bémol: c'est l'impression qu'ils n'ont que deux chansons dans leur répertoire or ils mériteraient de développer leurs compositions puisqu'ils ont l'air d'avoir le talent pour ça. La voix du leader, Erlend, sans être transcendante accompagne bien et joue son rôle sans trop déborder, l'essentiel était bien évidemment ailleurs dans leur musique. Le guitariste aimait beaucoup partir des envolées lyrique genre David Gilmour/Pink Floyd mais en moins mélancolique presque un jeu du chat et de la souris avec la rythmique de base, on le voyait s'amuser là-dessus, il était tellement content d'être ici, du coup nous aussi, c'était communicatif. Le public retrouve le Liberté, retrouve le centre de rennes et ça marche dès le 1er concert heureusement que Jean-Louis ne s'était pas trompé.
Je débarque donc pour le 1er concert, The Whitest Boy Alive... autant sur myspace j'avais des doutes, musique peu entraînante aux accents post rock, mais ces Norvégiens se sont bouger le cul exprès pour venir ici, il y avait donc anguille sous roche.
Jean-Louis Brossard (vieux programmateur briscard du festival) vient les présenter lui-même; chose que j'ai du voir une ou deux fois ces 3 années, un bel honneur mais c'était également l'occasion d'accueillir les spectateurs au Liberté, ça aurait été Henri Dès qu‘il aurait fait la même chose.
Il se trouve donc que c'est très sympa sur scène, le leader très content d'être ici y ajoute de son antrain et le public aime. Pour la musique c'est la petite surprise, des rythmes pop groove très simples et très rythmées avec comme base un triangle basse-batterie-synthés pour les chansons auxquelles le guitariste vient s'y greffer (avec une Telecaster) ensuite en jouant souvent du note à note (voyez le rapport on peut identifier le type de guitariste à son instrument un hardos rockeur priviligéra une suintante Gibson à la finesse des Telecaster) très rapide pour suivre la rythmique, non ce n'est pas vraiment du math rock The Whitest Boy Alive est trop pop mellow pour ça. Mais c'est très efficace il y a effectivement un gros potentiel sur ce groupe... parce que l'on peut émettre un bémol: c'est l'impression qu'ils n'ont que deux chansons dans leur répertoire or ils mériteraient de développer leurs compositions puisqu'ils ont l'air d'avoir le talent pour ça. La voix du leader, Erlend, sans être transcendante accompagne bien et joue son rôle sans trop déborder, l'essentiel était bien évidemment ailleurs dans leur musique. Le guitariste aimait beaucoup partir des envolées lyrique genre David Gilmour/Pink Floyd mais en moins mélancolique presque un jeu du chat et de la souris avec la rythmique de base, on le voyait s'amuser là-dessus, il était tellement content d'être ici, du coup nous aussi, c'était communicatif. Le public retrouve le Liberté, retrouve le centre de rennes et ça marche dès le 1er concert heureusement que Jean-Louis ne s'était pas trompé.
Bon 15/20 | par Kaliayev |
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