Serge Teyssot-Gay
Vitry-le-François [Espace Simone Signoret] - samedi 10 novembre 2007 |
Le concert ne se déroule pas à l'Orange Bleue ce soir mais dans l'espace Simone Signoret, à l'initiative des deux directions des deux salles respectives qui se sont accordés de brasser leurs publics différents. Les places sont assises et ce n'est pas plus mal. On se détend sous la musique du nancéen Thomas Belhom, entre du folk et de l'electro, des accumulations de samples et d'autres instruments à la disposition du musicien, donnant un ensemble restant minimaliste, zen et surtout original.
Pause café!
Nous re-pénétrons dans la salle et nous nous installons avant d'accueillir les deux musiciens sans frontière. Khaled AlJaramani prend position sur sa chaise, muni de sa oud, et attend patiemment que Serge Teyssot-Gay termine quelques derniers réglages et branchement du jack à sa guitare. Les deux acolytes s'échangent des regards amusés ce qui fait pouffer un rire au guitariste, rire partagé par un public compréhensif. Interzone en est à deux albums, mais malheureusement, je ne dispose pas du dernier sorti en date, Deuxième Jour. Entre les morceaux qui se succèdent alors, sous des lumières d'or et d'érubescence, on reconnaitra "Ayeb", "Wings", et "Vitalité" du premier album. Le crâne du Serjio luit comme un croissant de lune doré sous les lumières jaune. "Shatabaran", que j'attendais après avoir lutter contre un assoupissement tenace vers le pays des rêves pendant un ou deux titres, met un point final à la soirée.
Repause café! On dit au-revoir. On regagne la route.
Pause café!
Nous re-pénétrons dans la salle et nous nous installons avant d'accueillir les deux musiciens sans frontière. Khaled AlJaramani prend position sur sa chaise, muni de sa oud, et attend patiemment que Serge Teyssot-Gay termine quelques derniers réglages et branchement du jack à sa guitare. Les deux acolytes s'échangent des regards amusés ce qui fait pouffer un rire au guitariste, rire partagé par un public compréhensif. Interzone en est à deux albums, mais malheureusement, je ne dispose pas du dernier sorti en date, Deuxième Jour. Entre les morceaux qui se succèdent alors, sous des lumières d'or et d'érubescence, on reconnaitra "Ayeb", "Wings", et "Vitalité" du premier album. Le crâne du Serjio luit comme un croissant de lune doré sous les lumières jaune. "Shatabaran", que j'attendais après avoir lutter contre un assoupissement tenace vers le pays des rêves pendant un ou deux titres, met un point final à la soirée.
Repause café! On dit au-revoir. On regagne la route.
Bon 15/20 | par Pascha |
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