Mater Suspiria Vision
Second Coming |
Label :
Disaro |
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WITCH HOUSE 2 LE RETOUR. Pour ceux qui n'en ont pas encore entendu parlé, allez voir la fiche xsilencieuse de Salem. Oui j'ai pas aimé Salem et j'écoute encore de la witch house. Nom d'un petit chien que fais je à écouter ce genre de musique? Serais-je devenu branchouille? Suis-je en train de faire des placements à long terme pour revendre à prix d'or les disques originaux pour le revival witch house de 2041? Est-ce les jolies pochettes qui m'attirent? Est-ce le nom complètement improbable des groupes ( oOoOO, //TENSE//, Gr†ll Gr†ll)?
J'ai plutôt démonté Salem, on pourrait repartir sur la même chronique mais soyons clair, cet album N'EST PAS une grosse bouse immonde. Le terme qui me vient à l'esprit serait plutôt insignifiant. On alterne entre le drone et l'electro. Pas de chance pour moi ce sont des styles qui me touchent peu. On enchaine des rythmes lent, très lent parfois même, avec un phrasé proche du hip hop. Il est difficile de pointer du doigt un aspect particulier de ce disque, pas si mal fichu, surtout que certains aimeront pour les mêmes raisons qui font que je déteste: l'absence de mélodie, le son hyper ralenti... Pour peu qu'on aime le glauque (tout rockeu qui se respecte aime forcément un peu le glauque) on est même carrément gâté. L'esthétique est très travaillé et les parti-pris propre au style en font un disque jouissif. Bien plus que celui de Salem. On imaginerait volontiers ce genre de musique comme décor d'un vieux Giallo de Dario Argento. Un album qui illustre un film d'autres groupes on déjà fait ça. En mieux. Les ambiances crado on connait ça depuis Black Sabbath (au minimum), l'indus et l'electro rien de neuf sous la lune non plus. Ce genre recycle plus qu'il n'invente.
Quand je mate leurs vidéos basées sur des extraits de films d'horreur années 70 et 80, je me dis que ces gonzes ont sans doute du talent. Mais tout le problème vient du concept. Ca passe pour un ou deux titres mais sur la longueur c'est vraiment lassant. Quand le concept prend le pas sur les chansons, il faut passer de la branlette intellectuelle à la branlette espagnole et revenir aux valeurs essentielles.
J'ai plutôt démonté Salem, on pourrait repartir sur la même chronique mais soyons clair, cet album N'EST PAS une grosse bouse immonde. Le terme qui me vient à l'esprit serait plutôt insignifiant. On alterne entre le drone et l'electro. Pas de chance pour moi ce sont des styles qui me touchent peu. On enchaine des rythmes lent, très lent parfois même, avec un phrasé proche du hip hop. Il est difficile de pointer du doigt un aspect particulier de ce disque, pas si mal fichu, surtout que certains aimeront pour les mêmes raisons qui font que je déteste: l'absence de mélodie, le son hyper ralenti... Pour peu qu'on aime le glauque (tout rockeu qui se respecte aime forcément un peu le glauque) on est même carrément gâté. L'esthétique est très travaillé et les parti-pris propre au style en font un disque jouissif. Bien plus que celui de Salem. On imaginerait volontiers ce genre de musique comme décor d'un vieux Giallo de Dario Argento. Un album qui illustre un film d'autres groupes on déjà fait ça. En mieux. Les ambiances crado on connait ça depuis Black Sabbath (au minimum), l'indus et l'electro rien de neuf sous la lune non plus. Ce genre recycle plus qu'il n'invente.
Quand je mate leurs vidéos basées sur des extraits de films d'horreur années 70 et 80, je me dis que ces gonzes ont sans doute du talent. Mais tout le problème vient du concept. Ca passe pour un ou deux titres mais sur la longueur c'est vraiment lassant. Quand le concept prend le pas sur les chansons, il faut passer de la branlette intellectuelle à la branlette espagnole et revenir aux valeurs essentielles.
| Pas mal 13/20 | par Chaurionde |
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