The Dolly Rocker Movement
A Purple Journey Into The Mod Machine |
Label :
Off The Hip |
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Au royaume du psychédélisme, un nouveau fief s'est joint à la Californie, au Texas et à l'Angleterre : l'Australie. Ces cousins de l'hémisphère sud se sont copieusement abreuvés du flower power de Haight Ashbury et du swinging London, comme le claironnent les mods de The Dolly Rocker Movement.
Après un Electric Sunshine prometteur, ces derniers poursuivent leurs aventures cosmiques avec A Purple Journey Into The Mod Machine, une expérience peace & love pittoresque...
A peine entré dans la dite machine, les premières vibrations apparaissent avec "For Those Teary Eyes", qui n'est pas sans rappeler Love & Arthur Lee. Le charme malicieux du tubesque "Tell It Like It Is" ravira les aficionados de Syd Barrett, on se retrouve projeté quarante ans en arrière par un orgue magique et ultra groovy.
Des riffs et claviers chatoyants ainsi qu'une voix délicate et enveloppante nous accompagnent pendant cet ego-trip dont le maître mot sera "Leave all your troubles behind, take all the love you can find" : un rêve bigarré ("I Can See Through Orange") qui réveillera le hippie qui sommeille en vous ("My Friend"), vous révèlera peut-être la couleur de votre aura et vous conviera à d'autres festivités mémorables ("Get Up And Go Go").
Si l'on peut reprocher aux gars de Sydney de ne pas avoir inventé "la machine à cambrer les bananes", ils recyclent néanmoins le space rock avec panache. Leur psychédélisme florissant a des effets immédiats grisants et des vertus thérapeutiques réjouissantes longue durée, de quoi illuminer vos journées.
Après un Electric Sunshine prometteur, ces derniers poursuivent leurs aventures cosmiques avec A Purple Journey Into The Mod Machine, une expérience peace & love pittoresque...
A peine entré dans la dite machine, les premières vibrations apparaissent avec "For Those Teary Eyes", qui n'est pas sans rappeler Love & Arthur Lee. Le charme malicieux du tubesque "Tell It Like It Is" ravira les aficionados de Syd Barrett, on se retrouve projeté quarante ans en arrière par un orgue magique et ultra groovy.
Des riffs et claviers chatoyants ainsi qu'une voix délicate et enveloppante nous accompagnent pendant cet ego-trip dont le maître mot sera "Leave all your troubles behind, take all the love you can find" : un rêve bigarré ("I Can See Through Orange") qui réveillera le hippie qui sommeille en vous ("My Friend"), vous révèlera peut-être la couleur de votre aura et vous conviera à d'autres festivités mémorables ("Get Up And Go Go").
Si l'on peut reprocher aux gars de Sydney de ne pas avoir inventé "la machine à cambrer les bananes", ils recyclent néanmoins le space rock avec panache. Leur psychédélisme florissant a des effets immédiats grisants et des vertus thérapeutiques réjouissantes longue durée, de quoi illuminer vos journées.
Très bon 16/20 | par Lady Godiva |
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