The Brotherhood Of Lizards
Lizardland |
Label :
Deltic |
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The Brotherhood Of Lizards est un groupe éphémère né de la rencontre entre l'excentrique typiquement anglais Martin Newell (ex-leader de Cleaners from Venus) et du multi-instrumentiste Nelson (de son vrai nom Peter Nice), tous deux originaires de Colchester, petite ville de la campagne londonienne.
L'album Lizardland né de cette rencontre est une collection de pop songs dans la lignée des artisans britanniques du genre, Lennon/McCartney, Ray Davies et Syd Barrett en tête. On pense aussi à XTC dans le genre sixties revisitées par les 80's.
Martin Newell assure chant (très pop sixties), guitares (souvent carillonnantes) et piano ; Nelson, basse, batterie, guitare acoustique et mandoline.
Le résultat ? Des mélodies fraîches, légères et sucrées comme des bonbons anglais. L'album s'écoute agréablement mais reste assez anecdotique. Y manque un vrai grain de folie et de génie : on n'a le droit ici qu'à de l'excentricité et du talent. Une exception cependant : le superbe "The Day After Yesterday" à la mélodie irrésistible, au refrain entêtant, avec un riff de guitare cristallin et une ligne de basse post-punk du plus bel effet.
Pour promouvoir l'album (qui leur a côuté 2700 £), les deux compères entreprirent une mini-tournée... en vélo ! Une première en Angleterre, mais qui ne suffit pas à susciter assez d'enthousiasme pour acquérir un début de notoriété. L'aventure s'arrête début 1990 quand Nelson rejoint New Model Army, qui avait besoin d'un nouveau bassiste virtuose.
L'album Lizardland né de cette rencontre est une collection de pop songs dans la lignée des artisans britanniques du genre, Lennon/McCartney, Ray Davies et Syd Barrett en tête. On pense aussi à XTC dans le genre sixties revisitées par les 80's.
Martin Newell assure chant (très pop sixties), guitares (souvent carillonnantes) et piano ; Nelson, basse, batterie, guitare acoustique et mandoline.
Le résultat ? Des mélodies fraîches, légères et sucrées comme des bonbons anglais. L'album s'écoute agréablement mais reste assez anecdotique. Y manque un vrai grain de folie et de génie : on n'a le droit ici qu'à de l'excentricité et du talent. Une exception cependant : le superbe "The Day After Yesterday" à la mélodie irrésistible, au refrain entêtant, avec un riff de guitare cristallin et une ligne de basse post-punk du plus bel effet.
Pour promouvoir l'album (qui leur a côuté 2700 £), les deux compères entreprirent une mini-tournée... en vélo ! Une première en Angleterre, mais qui ne suffit pas à susciter assez d'enthousiasme pour acquérir un début de notoriété. L'aventure s'arrête début 1990 quand Nelson rejoint New Model Army, qui avait besoin d'un nouveau bassiste virtuose.
Sympa 14/20 | par Gaylord |
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