Bel Canto
Birds Of Passage |
Label :
Crammed Discs |
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Bel Canto, après un White-Out Conditions exceptionnel, reviennent avec un deuxième album.
Celui-ci est un peu plus accessible, un peu plus pop, encore plus électronique. Un peu moins bon que le premier, il reste un bon album. Anneli Drecker et Nils Johansen continuent à nous distiller un savant mélange de new-wave, de world music et de dream-pop qui est leur marque de fabrique. Et avec quel talent ! Quelle maîtrise !
La vocaliste chante en anglais essentiellement, mais aussi en espagnol sur un morceau ("Continuum"). Le multi-instrumentiste fait toujours des merveilles, mais il a quelque peu délaissé les instruments traditionnels pour se concentrer sur les machines, qu'il dompte pour leur donner parfois des sonorités néo-médiévales.
Mes titres préférés sont "Dewy Fields", d'une beauté glacée et grandiose à couper le souffle, où la voix de la chanteuse n'est pas loin d'évoquer une certaine Liz Frazer... ; "The Suffering", chronique d'une déception amoureuse ; "Intraveinous" qui évoquerait un Depeche Mode nordique ; "A Shoulder To The Wheel" où la chanteuse fait des prouesses vocales ; et "Time Without End" chanté par le duo (c'est une première) pour un petit bijou de mélancolie.
Un groupe méconnu à découvrir de toute urgence !
Celui-ci est un peu plus accessible, un peu plus pop, encore plus électronique. Un peu moins bon que le premier, il reste un bon album. Anneli Drecker et Nils Johansen continuent à nous distiller un savant mélange de new-wave, de world music et de dream-pop qui est leur marque de fabrique. Et avec quel talent ! Quelle maîtrise !
La vocaliste chante en anglais essentiellement, mais aussi en espagnol sur un morceau ("Continuum"). Le multi-instrumentiste fait toujours des merveilles, mais il a quelque peu délaissé les instruments traditionnels pour se concentrer sur les machines, qu'il dompte pour leur donner parfois des sonorités néo-médiévales.
Mes titres préférés sont "Dewy Fields", d'une beauté glacée et grandiose à couper le souffle, où la voix de la chanteuse n'est pas loin d'évoquer une certaine Liz Frazer... ; "The Suffering", chronique d'une déception amoureuse ; "Intraveinous" qui évoquerait un Depeche Mode nordique ; "A Shoulder To The Wheel" où la chanteuse fait des prouesses vocales ; et "Time Without End" chanté par le duo (c'est une première) pour un petit bijou de mélancolie.
Un groupe méconnu à découvrir de toute urgence !
Bon 15/20 | par Gaylord |
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