Tangerine Dream
Electronic Meditation |
Label :
Ohr |
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Pour l'objectivité vous repasserez mais Electronic Méditation c'est LE disque de Tangerine Dream.
Ils ont tiré leur nom de groupe de la chanson "Lucy In The Sky" de qui vous savez. Car même si on l'oublie souvent c'était à la base était un groupe de rock. De rock expérimental pour courageux mais un groupe de rock. C'était avant qu'ils ne tombent dans les méandres du New-Age qui allait leur offrir un statut (discutable) de pères fondateurs de la musique électronique.
En 1970 le groupe est constitué du fondateur Edgar Froese, du cofondateur Conrad Schnitzler, qui partira ensuite former Cluster, et des membres temporaires prestigieux comme un certain Klaus Schulze. (Rien que ça)
Comme je le disais, il s'agit de rock expérimental, une musique qui sent bon l'improvisation, les bandes enregistrées triturées et re-triturées dans tous les sens et qui malgré sa grande difficulté d'approche (toujours aujourd'hui je n'ose même pas imaginer à la sortie) est tout simplement une démonstration magistrale.
Musique répétitive qui installe des ambiances lancinantes, mystiques sur des bases de rock déconstruit pour créer une ambiance unique en son genre. On est parfois proche de la musique contemporaine mais sans verser dans une démarche intellectuelle ou cérébrale, nous avons bien à faire à une musique qui retourne les tripes qui vous prend au cœur pour vous entrainez dans des dimensions insoupçonnables. Explosions sonores, magma de nappes électro et d'orgues religieux, ambiances flippées, on est en plein chaos musical. Détruire pour mieux reconstruire et installer des bases nouvelles à la musique en général, c'est le tour de force réussi par cet album somptueux.
Coup d'essai et coup de maitre et un grand disque méconnu du rock planant allemand. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter bon courage.
Ils ont tiré leur nom de groupe de la chanson "Lucy In The Sky" de qui vous savez. Car même si on l'oublie souvent c'était à la base était un groupe de rock. De rock expérimental pour courageux mais un groupe de rock. C'était avant qu'ils ne tombent dans les méandres du New-Age qui allait leur offrir un statut (discutable) de pères fondateurs de la musique électronique.
En 1970 le groupe est constitué du fondateur Edgar Froese, du cofondateur Conrad Schnitzler, qui partira ensuite former Cluster, et des membres temporaires prestigieux comme un certain Klaus Schulze. (Rien que ça)
Comme je le disais, il s'agit de rock expérimental, une musique qui sent bon l'improvisation, les bandes enregistrées triturées et re-triturées dans tous les sens et qui malgré sa grande difficulté d'approche (toujours aujourd'hui je n'ose même pas imaginer à la sortie) est tout simplement une démonstration magistrale.
Musique répétitive qui installe des ambiances lancinantes, mystiques sur des bases de rock déconstruit pour créer une ambiance unique en son genre. On est parfois proche de la musique contemporaine mais sans verser dans une démarche intellectuelle ou cérébrale, nous avons bien à faire à une musique qui retourne les tripes qui vous prend au cœur pour vous entrainez dans des dimensions insoupçonnables. Explosions sonores, magma de nappes électro et d'orgues religieux, ambiances flippées, on est en plein chaos musical. Détruire pour mieux reconstruire et installer des bases nouvelles à la musique en général, c'est le tour de force réussi par cet album somptueux.
Coup d'essai et coup de maitre et un grand disque méconnu du rock planant allemand. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter bon courage.
| Exceptionnel ! ! 19/20 | par Mozz |
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