Scalde
Poperetta |
Label :
Discograph |
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'Le scalde est un poète scandinave, très souvent islandais, du Moyen Âge, essentiellement du IXe siècle au XIIIe siècle.'
Bonne pioche.
C'est ce qu'en tout cas ce que nous dit la chanson d'ouverture "Poperetta", véritable hymne d'un farfadet, cousin de la famille Guðmundsdóttir,un tube pop, fort mais conduit avec l'humilité du glockenspiel. On retrouve cet esprit dans le morceau qui suit "Virgin Places", où les choeurs sont tout aussi beaux. On pense à Archive -en mieux- au Bee Gees, à plein de truc cocooning aussi. "Ravin'" nous emporte ailleurs sur la banquise, tout droit dans le spleen d'une aurore boréale, tout ça grâce à ce duel entre Scalde et son clavier analogique et hypnotique. Incroyable symbiose !
"What Heredity Is" nous ramène au cocooning, quatrième morceaux, toujours aucun impaire, toujours ce froid et ces geysers bouillants. "Les Eaux Profondes" marque une rupture sur le disque, chanson psychédélique de country celtique, c'est un peu le moment où après six mois de nuit, le soleil apparaît 'Quand du soleil n'est aussi qu'une brûlure'. Magnifique chanson. "Fear Of A Fly" le single est aussi le titre le plus dansant, celui qui lorgne le plus vers l'electro. Tout en restant fondamentalement pop !
"Omnious" reste à la hauteur des autres chansons et c'est déjà la dernière chanson, avec le guest de Domitille Jordan. Un petit piano qui court, des petits choeurs qui se répondent, toujours cet mélancolie et cette grâce qui finalement ne nous quitte pas une seconde tout au long du disque.
Bonne pioche.
C'est ce qu'en tout cas ce que nous dit la chanson d'ouverture "Poperetta", véritable hymne d'un farfadet, cousin de la famille Guðmundsdóttir,un tube pop, fort mais conduit avec l'humilité du glockenspiel. On retrouve cet esprit dans le morceau qui suit "Virgin Places", où les choeurs sont tout aussi beaux. On pense à Archive -en mieux- au Bee Gees, à plein de truc cocooning aussi. "Ravin'" nous emporte ailleurs sur la banquise, tout droit dans le spleen d'une aurore boréale, tout ça grâce à ce duel entre Scalde et son clavier analogique et hypnotique. Incroyable symbiose !
"What Heredity Is" nous ramène au cocooning, quatrième morceaux, toujours aucun impaire, toujours ce froid et ces geysers bouillants. "Les Eaux Profondes" marque une rupture sur le disque, chanson psychédélique de country celtique, c'est un peu le moment où après six mois de nuit, le soleil apparaît 'Quand du soleil n'est aussi qu'une brûlure'. Magnifique chanson. "Fear Of A Fly" le single est aussi le titre le plus dansant, celui qui lorgne le plus vers l'electro. Tout en restant fondamentalement pop !
"Omnious" reste à la hauteur des autres chansons et c'est déjà la dernière chanson, avec le guest de Domitille Jordan. Un petit piano qui court, des petits choeurs qui se répondent, toujours cet mélancolie et cette grâce qui finalement ne nous quitte pas une seconde tout au long du disque.
Intemporel ! ! ! 20/20 | par Jose |
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