Yello
You Gotta Say Yes To Another Excess |
Label :
Stiff |
||||
C'est probablement à la sortie de "I Love You" que Yello atteint les sommets de leurs carrières pour ne plus retomber.
A classer dans l'acid-house, on peut sentir des influences comme Kraftwerk, B-52's (éventuellement Jean-Michel Jarre pour certains moments de leurs deux premiers albums).
De la musique pour discothèque, mais une créativité évidente. Un son très propre et novateur, puissant, jamais écœurant. J'aime beaucoup les trois premiers morceaux, d'ailleurs, à l'époque, j'avais acheter le maxi 45.
Ce disque est l'aboutissement de ce qu'ils ont fait auparavant, (beaucoup de tâtonnement et de dispersion des influences, nottamment avec les rythmes africains ou sud-américains) là, le fruit Yello est bien mûr. La suite des albums je la connais moins bien, ou ce que j'ai pu entendre ne me plaisait que passagèrement, ils sont devenus un peu comme Art of Noise ou Enigma: trop commerciaux, donc pour moi, plus superficiels.
"Great Mission" et "You Gotta Say Yes To Another" sont truffés de rythmes tribaux, "Swing" parle de lui-même, "Heavy Whispers" nous gratifie de gémissements féminins et d'un synthé B-52's.
Le dernier morceau me rappelle avec bonheur un morceau d'un disque d'Irmin Schmidt (de Can) et Bruno Spoerri en 1981, Toy Planet.
A classer dans l'acid-house, on peut sentir des influences comme Kraftwerk, B-52's (éventuellement Jean-Michel Jarre pour certains moments de leurs deux premiers albums).
De la musique pour discothèque, mais une créativité évidente. Un son très propre et novateur, puissant, jamais écœurant. J'aime beaucoup les trois premiers morceaux, d'ailleurs, à l'époque, j'avais acheter le maxi 45.
Ce disque est l'aboutissement de ce qu'ils ont fait auparavant, (beaucoup de tâtonnement et de dispersion des influences, nottamment avec les rythmes africains ou sud-américains) là, le fruit Yello est bien mûr. La suite des albums je la connais moins bien, ou ce que j'ai pu entendre ne me plaisait que passagèrement, ils sont devenus un peu comme Art of Noise ou Enigma: trop commerciaux, donc pour moi, plus superficiels.
"Great Mission" et "You Gotta Say Yes To Another" sont truffés de rythmes tribaux, "Swing" parle de lui-même, "Heavy Whispers" nous gratifie de gémissements féminins et d'un synthé B-52's.
Le dernier morceau me rappelle avec bonheur un morceau d'un disque d'Irmin Schmidt (de Can) et Bruno Spoerri en 1981, Toy Planet.
Bon 15/20 | par IsidoreDeVinck |
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