Lack
Be There Pulse |
Label :
Undergroove |
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Dire que ces p'tits cons ont tourné avec Oxes pour présenter ce Be There Pulse !... Et dire que je le savais et que j'ai consciemment raté ça !! Y'a des fois où je ne suis pas très fier de moi.
Parce qu'il faut dire ce qu'il est. Ce Be There Pulse est loin d'être un album ennuyeux et encore moins raté. Lignes de basses rondes et bien en évidence soutenues par des guitares stridentes sur lesquelles se greffent un chant enfiévré: la recette est effectivement connue sorte de hardcore à la rage complètement canalisée mais à la tension tout aussi palpable. Pourtant les quatre Danois réussissent à tirer leur épingle du jeu puisque ce second album du groupe est percutant et efficace tout au long des dix titres qui le composent.
Avec sa rythmique solide et appuyée, Lack n'a qu'à se broder. Alors quitte à se faire plaisir, multiplions les breaks et les montées incandescentes de guitares annonçant quelques refrains tonitruants. Voilà quel pourrait être le credo du quatuor. Parce que Lack réussit à taper dans le mille, et ce, à plusieurs reprises. Dans le genre, difficile de trouver meilleure introduction d'album que ce "Marathon Man" à la fois lancinant et dévoilant d'ores et déjà la puissance du moteur de la machine qu'est Lack. Ainsi, on se fait même reprendre à ce petit jeu avec un "Primo Levi" aux breaks salvateurs ou avec la basse prédominante et ronflante de "Scot, Smoke & Ash", et la force d'un "Ritornello" impeccable de tension et de hargne. Et au milieu de tout ça: "Simonix"; ballade acoustique plaintive et intimiste, sortie d'on ne sait où, insufflant un sentiment de malaise au climat de ce Be There Pulse. Pari risqué , mais réussi !
Des p'tits cons, disais-je. Parce très forts, très bons, et plus que recommandables.
Parce qu'il faut dire ce qu'il est. Ce Be There Pulse est loin d'être un album ennuyeux et encore moins raté. Lignes de basses rondes et bien en évidence soutenues par des guitares stridentes sur lesquelles se greffent un chant enfiévré: la recette est effectivement connue sorte de hardcore à la rage complètement canalisée mais à la tension tout aussi palpable. Pourtant les quatre Danois réussissent à tirer leur épingle du jeu puisque ce second album du groupe est percutant et efficace tout au long des dix titres qui le composent.
Avec sa rythmique solide et appuyée, Lack n'a qu'à se broder. Alors quitte à se faire plaisir, multiplions les breaks et les montées incandescentes de guitares annonçant quelques refrains tonitruants. Voilà quel pourrait être le credo du quatuor. Parce que Lack réussit à taper dans le mille, et ce, à plusieurs reprises. Dans le genre, difficile de trouver meilleure introduction d'album que ce "Marathon Man" à la fois lancinant et dévoilant d'ores et déjà la puissance du moteur de la machine qu'est Lack. Ainsi, on se fait même reprendre à ce petit jeu avec un "Primo Levi" aux breaks salvateurs ou avec la basse prédominante et ronflante de "Scot, Smoke & Ash", et la force d'un "Ritornello" impeccable de tension et de hargne. Et au milieu de tout ça: "Simonix"; ballade acoustique plaintive et intimiste, sortie d'on ne sait où, insufflant un sentiment de malaise au climat de ce Be There Pulse. Pari risqué , mais réussi !
Des p'tits cons, disais-je. Parce très forts, très bons, et plus que recommandables.
Bon 15/20 | par X_Jpbowersock |
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