1 Mile North
Minor Shadows |
Label :
Ba Da Bing ! |
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Le duo new-yorkais avait glissé une perle au coin de l'oreiller en 2001, ils reviennent en 2004 avec une rivière de diamants. L'impression de perfection ambiante s'immisce dès les premiers instants. Les sons enivrants aménagent les silences avec une simplicité débordante de richesse émotionnelle. L'esprit s'allonge dans un désert parsemé de gouttelettes sonores fruit d'une réflexion fertile, car ici la musique est organique. Les yeux fermés, on compte les vibrations de corde de Jon Hills, elles vont à l'essentiel, pas un parasite ne dérange l'harmonie de ce flux clairsemé. Les discrètes nappes du clavier de Mark Bajuk habillent à merveille la guitare très dénudées de son acolyte. Ils semblent jouer une apologie du silence au crépuscule, face à l'horizon.
La construction très cérébrale s'étale tel un film minimaliste sur 7 chapitres d'une douceur enfantine et naturelle. Ces 7 ballades aériennes en marge du monde humain s'écoute d'une oreille contemplative, dans un autisme de surface. L'ensemble parfaitement homogène se glisserait sans encombre dans les plus beaux espaces verts.
One Mile North a le don des ambiances, le sens des grands espaces. Certainement auraient-ils fait de très inventifs décorateurs ou designer. Espérons qu'ils cachent encore bien des surprises sous leurs lignes épurées.
La construction très cérébrale s'étale tel un film minimaliste sur 7 chapitres d'une douceur enfantine et naturelle. Ces 7 ballades aériennes en marge du monde humain s'écoute d'une oreille contemplative, dans un autisme de surface. L'ensemble parfaitement homogène se glisserait sans encombre dans les plus beaux espaces verts.
One Mile North a le don des ambiances, le sens des grands espaces. Certainement auraient-ils fait de très inventifs décorateurs ou designer. Espérons qu'ils cachent encore bien des surprises sous leurs lignes épurées.
Parfait 17/20 | par Elbichon |
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