Jawbox
Jawbox |
Label :
Atlantic |
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C'est fini Jawbox ! Certains diront qu'il était temps, d'autres pleureront, mais la majorité des fans du groupe se délecteront d'écouter cet album comme le disque de leur consécration.
Y'a quelque chose dans ce disque qui dérange au premier abord, trop propre, trop power pop pour les fans de la première heure, et pourtant cet album est une réussite. Des compos ultra léchées, un Jay Robbins au meilleur de sa forme, maitrisant son chant et sa guitare comme personne. Bill Barbot fidèle à lui-même en épaulant Robbins avec classe, brillamment, c'est un peu le binôme gagnant du groupe, les inséparables. Adam Wade est parti rejoindre Shudder to think depuis deux albums déjà et a laissé sa place à Zack Barocas, batteur de talent, époustouflant d'énergie, inépuisable. Kim Colleta elle, est toujours là, tient sa place, calle ses lignes de basse simplement, efficacement, c'est peut être ça la force tranquille. Ce qui peut déranger sur ce disque c'est certainement à mon sens la production, une production impeccable, trop peut être. L'arrivée du groupe sur la major Atlantic révèle plus de moyens, ça s'entend, le son est très, peut être trop propre, pourtant c'est leur deuxième album sur cette major, le premier étant le non moins excellent For your own spécial sweet heart qui n'était pas aussi produit que ce disque, mais qui est simplement une tuerie, un chef d'œuvre d'énergie, avec un son légèrement plus dégueulasse (sur vinyl du moins).
Bon, je n'ai pas envie de passer en revue chaque morceau de cet album éponyme donc je m'abstiendrai, mais si vous aimez chanter avachis dans votre bagnole, si vous aimez la distorsion sur les guitares et l'énergie que peut dégager une basse ronde et un batteur carré c'est certainement l'album qu'il vous faut. 14 morceaux, certains vraiment impeccables, d'autres un peu moins, des hits, des slows, mais un album vraiment excellent. Point barre !
Y'a quelque chose dans ce disque qui dérange au premier abord, trop propre, trop power pop pour les fans de la première heure, et pourtant cet album est une réussite. Des compos ultra léchées, un Jay Robbins au meilleur de sa forme, maitrisant son chant et sa guitare comme personne. Bill Barbot fidèle à lui-même en épaulant Robbins avec classe, brillamment, c'est un peu le binôme gagnant du groupe, les inséparables. Adam Wade est parti rejoindre Shudder to think depuis deux albums déjà et a laissé sa place à Zack Barocas, batteur de talent, époustouflant d'énergie, inépuisable. Kim Colleta elle, est toujours là, tient sa place, calle ses lignes de basse simplement, efficacement, c'est peut être ça la force tranquille. Ce qui peut déranger sur ce disque c'est certainement à mon sens la production, une production impeccable, trop peut être. L'arrivée du groupe sur la major Atlantic révèle plus de moyens, ça s'entend, le son est très, peut être trop propre, pourtant c'est leur deuxième album sur cette major, le premier étant le non moins excellent For your own spécial sweet heart qui n'était pas aussi produit que ce disque, mais qui est simplement une tuerie, un chef d'œuvre d'énergie, avec un son légèrement plus dégueulasse (sur vinyl du moins).
Bon, je n'ai pas envie de passer en revue chaque morceau de cet album éponyme donc je m'abstiendrai, mais si vous aimez chanter avachis dans votre bagnole, si vous aimez la distorsion sur les guitares et l'énergie que peut dégager une basse ronde et un batteur carré c'est certainement l'album qu'il vous faut. 14 morceaux, certains vraiment impeccables, d'autres un peu moins, des hits, des slows, mais un album vraiment excellent. Point barre !
Excellent ! 18/20 | par MUELLER |
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