Chokebore
Motionless |
Label :
Amphetamine Reptile |
||||
Les débuts du rock chaotique des Hawaïens furent en fait plus énervés que par la suite avec ce Motionless. La vague grunge n'est réellement pas loin ... Etonnamment, le punk non plus sur ce "Coat" qui sort du lot parmi nombre de morceaux qui ne font pas autant d'effets que ceux des albums suivants. Quoi de plus normal pour un premier essai ? Le son est presque métal par moment, ça dérange quand même un peu et joue en sa défaveur.
Le Chokebore en devenir est pourtant déjà là: "Shine", "Nguyan", "So Sour"... L'avenir n'a fait que confirmé le potentiel lumineux de ce groupe à la fois mélancolique et nerveux.
Le Chokebore en devenir est pourtant déjà là: "Shine", "Nguyan", "So Sour"... L'avenir n'a fait que confirmé le potentiel lumineux de ce groupe à la fois mélancolique et nerveux.
Pas mal 13/20 | par X_YoB |
Ecoutable sur http://bandcamp.chokebore.net/album/motionless
Posté le 03 août 2006 à 12 h 23 |
Un début fort peu encourageant pour tous ceux qui ont découvert Chokebore sur ce Motionless. Le son est assez médiocre entre metal, grunge et punk et manque cruellement d'affirmation.
Le groupe dévoile assez peu les charmes de la mélancolie qui lui vaudra son succès à partir de A Taste For Bitters sur ce disque, préférant se concentrer sur la puissance et l'énergie. Mais, à force de répéter ses mélodies et ses paroles, Troy Bruno Van Balthazar entrouve la porte de son talent et de sa voix si singulière de ci de là ("Nguyan", "Coat", "Shine", "Van McCoy") sans en affirmer clairement le potentiel.
Le disque est bien digne d'un premier album donc : un peu répétitif, un peu brouillon, un peu décallé ... Mais les sillons de la qualité future de Chokebore sont déjà tracés. Ce groupe sera grand ou ne sera pas. Rendez-vous dans quelques années.
Le groupe dévoile assez peu les charmes de la mélancolie qui lui vaudra son succès à partir de A Taste For Bitters sur ce disque, préférant se concentrer sur la puissance et l'énergie. Mais, à force de répéter ses mélodies et ses paroles, Troy Bruno Van Balthazar entrouve la porte de son talent et de sa voix si singulière de ci de là ("Nguyan", "Coat", "Shine", "Van McCoy") sans en affirmer clairement le potentiel.
Le disque est bien digne d'un premier album donc : un peu répétitif, un peu brouillon, un peu décallé ... Mais les sillons de la qualité future de Chokebore sont déjà tracés. Ce groupe sera grand ou ne sera pas. Rendez-vous dans quelques années.
Pas terrible 9/20
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