Fiery Furnaces
Blueberry Boat |
Label :
Rough Trade |
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A quoi peut-on s'attendre quand on met le second opus des Fiery Furnaces dans le mange-disque? Ben à vrai dire, pas grand chose. En effet, on a vu que c'était un genre de rock-opéra à la Tommy des Who. Ouhla se dit-on, c'est risqué. Deuxièmement, on s'attend à un peu du premier album, Gallowsbird's Bark. Ce dernier était un petit OVNI dans les productions actuelles. Un genre de Cabaret Rock un peu baroque. Bref, si on a pris le premier album des Fiery Furnaces comme un objet spécial, Blueberry Boat peut paraître inécoutable à la première, ainsi que pas mal arrogant.
On met le CD donc. Avant d'appuyer sur "play", on voit qu'il y a 13 pistes, et que l'album dure 78 min. Bref, comme un album de Tool.
Les premières impressions sont partagées. Le frère et la soeur ont mis de l'electro dans leurs compos. Et puis les premières comparaisons avec les Who se font sentir. N'oublions pas que le garçon est un vrai fan, et ça se sent allègrement à son jeu de guitare, très acoustique dans un premier temps, et très sec, à la Townshend. L'album lui, peut être comparé à Tommy par sa structure conceptuelle et ça s'arrête là. Car on se rend vite compte qu'on a affaire à quelque chose d'assez exceptionnel. Les textes sont tournés de façon à faire sonner les mots, donc, sachez qu'ils ne sont pas toujours très clairs. L'album s'écoule, je n'ai pas trop compris ce qu'il s'est passé. Je me le remets, pour essayer de mieux capter l'essence de leur musique, et là, c'est le choc. Les mélodies s'entremêlent, les rythmes s'entrechoquent, et les voix se mélangent. On à affaire à un vrai tourbillon d'influences (rock, pop et psychédélisme de 60's, cabaret, electro, folk... et j'en passe).
Vous l'aurez compris, l'album est difficile d'accès. Mais il faut s'accrocher, ça vaut la chandelle.
Un des meilleurs disque de 2004, passé un peu inaperçu vis à vis des Franz Ferdinand, Libertines, et autres, et pourtant, qualitativement, les Fiery Furnaces sont largement au-dessus, comme une jeune influence insaisissable.
On met le CD donc. Avant d'appuyer sur "play", on voit qu'il y a 13 pistes, et que l'album dure 78 min. Bref, comme un album de Tool.
Les premières impressions sont partagées. Le frère et la soeur ont mis de l'electro dans leurs compos. Et puis les premières comparaisons avec les Who se font sentir. N'oublions pas que le garçon est un vrai fan, et ça se sent allègrement à son jeu de guitare, très acoustique dans un premier temps, et très sec, à la Townshend. L'album lui, peut être comparé à Tommy par sa structure conceptuelle et ça s'arrête là. Car on se rend vite compte qu'on a affaire à quelque chose d'assez exceptionnel. Les textes sont tournés de façon à faire sonner les mots, donc, sachez qu'ils ne sont pas toujours très clairs. L'album s'écoule, je n'ai pas trop compris ce qu'il s'est passé. Je me le remets, pour essayer de mieux capter l'essence de leur musique, et là, c'est le choc. Les mélodies s'entremêlent, les rythmes s'entrechoquent, et les voix se mélangent. On à affaire à un vrai tourbillon d'influences (rock, pop et psychédélisme de 60's, cabaret, electro, folk... et j'en passe).
Vous l'aurez compris, l'album est difficile d'accès. Mais il faut s'accrocher, ça vaut la chandelle.
Un des meilleurs disque de 2004, passé un peu inaperçu vis à vis des Franz Ferdinand, Libertines, et autres, et pourtant, qualitativement, les Fiery Furnaces sont largement au-dessus, comme une jeune influence insaisissable.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Reznor |
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