Double Dragon
Double Dragon |
Label :
Music Fear Satan |
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2011, le film de Nicolas Winding Refn sort sur les écrans et impose un style apprécié ou pas mais qui fera date. "Drive" impose sa soundtrack solaire et légèrement "décalée" en propulsant Kavinsky et les side projects de Johnny Jewel plus connu en tant que leader des Chromatics.
L'engouement ramène John Carpenter en studio (en tant que compositeur) et génère tout un tas de groupes adeptes du Synthwave. Le style rappelle les couleurs néon flashy des années 80 et sent bon l'utilisation de ce qu'on appelait à l'époque encore des "synthétiseurs".
On aura donc droit à une jolie présence française dans le style avec Carpenter Brut ou Perturbator qui laissent libre cours à leur imagination débridée dans un style pas aussi limité qu'il y parait au premier abord.
Qu'est-ce qui peut bien distinguer alors ce duo marseillais des autres productions du même style en portant le nom d'un jeu de baston aussi connu que la marque Casio ou Megadrive ?
L'album éponyme sorti en 2015 et autoproduit respire la sincérité. Celle de produire des bons titres à l'accroche immédiate et en sortant les guitares. Pour un peu, on pourrait presque confondre "Rebirth" qui ouvre l'album avec un morceau nerveux des Daft Punk.
L'univers bascule d'ambiances anxiogènes façon John Carpenter à des mélodies mélancoliques travaillées. Peu d'ennui et aucun titre à négliger, c'est un peu le lot de ces bons albums qui s'écoutent et s'apprécient aussi vite qu'ils s'oublient mais ce serait sans compter sur l'apport de voix sur les titres "Poésie Digitale", "We rule the Night" et surtout "Dragon Fly" véritable hit en devenir, ce qui apporte une certaine variété sur l'ensemble de titres instrumentaux.
Difficile de trouver une faiblesse quelconque dans cet album varié qui panache les ambiances dance, ambiant et rythmique avec succès. Quitte à se procurer un album best of du mouvement Synth alors ce Double Dragon se pose en candidat idéal.
L'engouement ramène John Carpenter en studio (en tant que compositeur) et génère tout un tas de groupes adeptes du Synthwave. Le style rappelle les couleurs néon flashy des années 80 et sent bon l'utilisation de ce qu'on appelait à l'époque encore des "synthétiseurs".
On aura donc droit à une jolie présence française dans le style avec Carpenter Brut ou Perturbator qui laissent libre cours à leur imagination débridée dans un style pas aussi limité qu'il y parait au premier abord.
Qu'est-ce qui peut bien distinguer alors ce duo marseillais des autres productions du même style en portant le nom d'un jeu de baston aussi connu que la marque Casio ou Megadrive ?
L'album éponyme sorti en 2015 et autoproduit respire la sincérité. Celle de produire des bons titres à l'accroche immédiate et en sortant les guitares. Pour un peu, on pourrait presque confondre "Rebirth" qui ouvre l'album avec un morceau nerveux des Daft Punk.
L'univers bascule d'ambiances anxiogènes façon John Carpenter à des mélodies mélancoliques travaillées. Peu d'ennui et aucun titre à négliger, c'est un peu le lot de ces bons albums qui s'écoutent et s'apprécient aussi vite qu'ils s'oublient mais ce serait sans compter sur l'apport de voix sur les titres "Poésie Digitale", "We rule the Night" et surtout "Dragon Fly" véritable hit en devenir, ce qui apporte une certaine variété sur l'ensemble de titres instrumentaux.
Difficile de trouver une faiblesse quelconque dans cet album varié qui panache les ambiances dance, ambiant et rythmique avec succès. Quitte à se procurer un album best of du mouvement Synth alors ce Double Dragon se pose en candidat idéal.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Jetjet |
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