Dogbowl
Dogbowl & Kramer - Hot Day In Waco |
Label :
Shimmy Disc |
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Dogbowl & Kramer,collaboration de Dogbowl, aka Stephen Turner avec Mark Kramer (entre autre producteur de Galaxie 500 ou encore de Low mais aussi guitariste occasionnel des Butthole Surfers...) et découverts, via le morceau assez singuliers : "Hot Day in Waco", et grâce à une émission radio sur le thème du fameux feu de camp que firent ces joyeux boys scouts festifs de la secte de Waco, en 1993 ! Pourquoi singuliers ? Et bien parce que d'un bel équilibre entre naturel et fin ciselage, à tel point que je m'attendais même à (re)découvrir un groupe relativement connu par les connaisseurs (dont je fais évidemment partie,ah ah ah) voire peut-être même influent, comme ces phares que seuls les yeux les plus affûtés aperçoivent dans la brume et qui permettent d'éviter les récifs ! Pas la peine d'utiliser des superlatifs épuisants mais le morceau m'a fait assez forte impression !
" Hot Day in Waco " fait donc partie d'un album du même nom et il en existe au moins 2 versions puisque l'orchestration de celle entendue dans l'émission radio est différente de la version album (il ne s'agirait pourtant pas d'un single) : la 1ère, celle que je préfère, plus électrique, avec des choeurs et une touche de saxo (baryton ?); la seconde, plus conventionnelle, avec violons...
Alors en ce qui concerne les autres morceaux de l'album, on est plus dans une veine pop psychédélique, voire expérimentale aux entournures que sur le morceau précité. Seuls points communs : un sens mélodique marqué et assez largement hérité des sixties, une certaine recherche en matière d'arrangements mais aussi une pointe de dérision. Le sens de l'accroche des morceaux est d'une évidence même pour tout amateur de pop sophistiquée et décalée et classe Stephen Turner (le leader de Dogbowl et compositeur des morceaux) dans le haut du panier des compositeurs pop les plus doués et sensibles de sa génération. Tout simplement.
" Hot Day in Waco " fait donc partie d'un album du même nom et il en existe au moins 2 versions puisque l'orchestration de celle entendue dans l'émission radio est différente de la version album (il ne s'agirait pourtant pas d'un single) : la 1ère, celle que je préfère, plus électrique, avec des choeurs et une touche de saxo (baryton ?); la seconde, plus conventionnelle, avec violons...
Alors en ce qui concerne les autres morceaux de l'album, on est plus dans une veine pop psychédélique, voire expérimentale aux entournures que sur le morceau précité. Seuls points communs : un sens mélodique marqué et assez largement hérité des sixties, une certaine recherche en matière d'arrangements mais aussi une pointe de dérision. Le sens de l'accroche des morceaux est d'une évidence même pour tout amateur de pop sophistiquée et décalée et classe Stephen Turner (le leader de Dogbowl et compositeur des morceaux) dans le haut du panier des compositeurs pop les plus doués et sensibles de sa génération. Tout simplement.
Très bon 16/20 | par Slowdown |
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