Starcrawler
Starcrawler |
Label :
Rough Trade |
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Starcrawler c'est une bande de 4 personnes bien excitées dont une "fille de" (Arrow de Wilde, fille de la photographe Autumn de Wilde et du batteur Aaron Sperske), des performances lives endiablées saluées par des grands du milieu (coucou Dave Grohl), un premier album éponyme produit par Ryan Adams et un single entêtant voué à devenir un petit tube ("I Love LA")... et c'est tout ?
Bah franchement c'est presque tout. Un côté Glam-Rock, un côté Punk et pas beaucoup de chansons mémorables ; les idées sont là, mais pas assez exploitées et ce trop souvent... c'est peut-être le style Punk qui veut çà, les compos ne doivent pas dépasser les 2 minutes 30, il faut aller à l'essentiel, alors qu'ils semblent être capables de prendre leur temps pour changer de rythme au sein d'un même morceau et l'emmener encore plus loin, mais non ils ne le font pas assez.
La preuve qu'ils ont les capacités d'écrire de bons morceaux un peu plus longs et bien menés : "Chicken Woman" à l'ambiance Doom qui explose sur sa fin et le trio final "Let Her Be" et sa montée en puissance, l'aérienne "Tears" et "What I Want" où chacun brille à son tour.
Un bon single et une Face B supérieur – ce qui est assez rare il faut le dire – c'est tout ce que semble bien pouvoir apporter Starcrawler et c'est bien dommage. Un groupe à voir sur scène pour l'énergie communicative et leur côté théâtral, Arrow de Wilde étant un mini-mix d'Ozzy Osbourne (période blond) et d'Alice Cooper.
Bah franchement c'est presque tout. Un côté Glam-Rock, un côté Punk et pas beaucoup de chansons mémorables ; les idées sont là, mais pas assez exploitées et ce trop souvent... c'est peut-être le style Punk qui veut çà, les compos ne doivent pas dépasser les 2 minutes 30, il faut aller à l'essentiel, alors qu'ils semblent être capables de prendre leur temps pour changer de rythme au sein d'un même morceau et l'emmener encore plus loin, mais non ils ne le font pas assez.
La preuve qu'ils ont les capacités d'écrire de bons morceaux un peu plus longs et bien menés : "Chicken Woman" à l'ambiance Doom qui explose sur sa fin et le trio final "Let Her Be" et sa montée en puissance, l'aérienne "Tears" et "What I Want" où chacun brille à son tour.
Un bon single et une Face B supérieur – ce qui est assez rare il faut le dire – c'est tout ce que semble bien pouvoir apporter Starcrawler et c'est bien dommage. Un groupe à voir sur scène pour l'énergie communicative et leur côté théâtral, Arrow de Wilde étant un mini-mix d'Ozzy Osbourne (période blond) et d'Alice Cooper.
Passable 11/20 | par Beckuto |
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