Elvin Road
Fade To Dark |
Label :
Road Pictures / Imusician |
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Fade To Dark est le 3è album de Elvin Road, projet mené par le Français Antoine Saison et fait parti de ces disques dont il est totalement inutile de décortiquer chanson par chanson. Fade To Dark est une entité, un tout qui se doit d'être écouté d'une traite, un voyage dans l'imaginaire qui mériterait amplement d'être porté sur grand écran.
Du Métal Progressif cinématographique avec une pointe d'Électro – la très bonne bande son d'un film fictif complètement allumé et burné avec tous ce que ce style peut apporter d'instants calmes, de tempêtes et de cassures ; le combat éternel entre ténèbres et lumière, 55 minutes exécutées avec maestria. Cette musique est tellement bonne qu'il est parfois possible d'être légèrement déçu lorsque la voix entre en scène, oh elle est très belle, c'est loin d'être çà le problème, c'est juste que la musique se suffit à elle-même. Pour vous donner un autre exemple, prenez Man On The Rocks (2014) de Mike Oldfield, il avait sorti le disque normal et la version instrumentale... je vous avoue que le CD avec les voix je l'ai très peu écouté une fois entendu l'autre version. Avec une musique aussi cinématographique les paroles peuvent nous emmener autre part, nous guider, alors qu'on peut préférer aller là où notre esprit a lui seul envie d'aller.
Avec une production et une réalisation très professionnelles, des pistes instrumentales évocatrices à pleurer, il ne manque qu'une seule chose à Fade To Dark... un film.
Du Métal Progressif cinématographique avec une pointe d'Électro – la très bonne bande son d'un film fictif complètement allumé et burné avec tous ce que ce style peut apporter d'instants calmes, de tempêtes et de cassures ; le combat éternel entre ténèbres et lumière, 55 minutes exécutées avec maestria. Cette musique est tellement bonne qu'il est parfois possible d'être légèrement déçu lorsque la voix entre en scène, oh elle est très belle, c'est loin d'être çà le problème, c'est juste que la musique se suffit à elle-même. Pour vous donner un autre exemple, prenez Man On The Rocks (2014) de Mike Oldfield, il avait sorti le disque normal et la version instrumentale... je vous avoue que le CD avec les voix je l'ai très peu écouté une fois entendu l'autre version. Avec une musique aussi cinématographique les paroles peuvent nous emmener autre part, nous guider, alors qu'on peut préférer aller là où notre esprit a lui seul envie d'aller.
Avec une production et une réalisation très professionnelles, des pistes instrumentales évocatrices à pleurer, il ne manque qu'une seule chose à Fade To Dark... un film.
Parfait 17/20 | par Beckuto |
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