Snapped Ankles
Come Play The Trees |
Label :
The Leaf Label |
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Ce n'est pas parce qu'ils s'habillent comme chasseurs d'Histoires Naturelles en quête de gibier & que le début de l'album ressemble à une symphonie pour appeaux qu'il faut forcément passer son chemin. Oui, c'est pas très engageant, mais si vous passez outre ce début, en forme de Animal Collective acoustique, vous aurez passer le plus dur, et le meilleur est devant vous. On peut dire que c'est un album qui se mérite je pense.
Et vus ne serez pas déçus ! Dès "Hanging With The Moon", la magie opère. une sorte d'afrobeat dingue, répétitif, une soirée sous lsd avec Can, King Gizzard & The Lizard Wizard qui reprendrait du The Fall, avec John Dwyer qui viendrait mettre son grain de sel là dedans. Je vous l'accorde, dis comme ça, on dirait un groupe qui fait du copier/coller de ce qui se fait, de ce qui est dans l'air du temps. Mais c'est un peu plus que ça. En un album le trio se forge une identité propre & forte, avec des titres aussi forts les uns ques les autres. Trop peut être, car on peut frôler l'overdose sur l'album entier, notamment avec "Jonny Guitar Calling Gosta Berlin" & "Let's Revel", les deux plus longs titres calés au milieu du disque. Ce n'est pas vraiment que le disque soit répétitif (dans le mauvais sens du terme), c'est plutôt qu'il n'y a pas vraiment de pause si ce n'est "The Invisible Real That Hurts", rendant le tout un peu épuisant à la longue, ou bien tout le contraire, vous scotcher de bout en bout.
Snapped Ankles nous offre là un album abouti, bien plus qu'un simple passage studio de titres rodés en live (on devine les bêtes de scène derrière ces neuf titres), épuisant ou génial, à vous de vous faire votre opinion !
Et vus ne serez pas déçus ! Dès "Hanging With The Moon", la magie opère. une sorte d'afrobeat dingue, répétitif, une soirée sous lsd avec Can, King Gizzard & The Lizard Wizard qui reprendrait du The Fall, avec John Dwyer qui viendrait mettre son grain de sel là dedans. Je vous l'accorde, dis comme ça, on dirait un groupe qui fait du copier/coller de ce qui se fait, de ce qui est dans l'air du temps. Mais c'est un peu plus que ça. En un album le trio se forge une identité propre & forte, avec des titres aussi forts les uns ques les autres. Trop peut être, car on peut frôler l'overdose sur l'album entier, notamment avec "Jonny Guitar Calling Gosta Berlin" & "Let's Revel", les deux plus longs titres calés au milieu du disque. Ce n'est pas vraiment que le disque soit répétitif (dans le mauvais sens du terme), c'est plutôt qu'il n'y a pas vraiment de pause si ce n'est "The Invisible Real That Hurts", rendant le tout un peu épuisant à la longue, ou bien tout le contraire, vous scotcher de bout en bout.
Snapped Ankles nous offre là un album abouti, bien plus qu'un simple passage studio de titres rodés en live (on devine les bêtes de scène derrière ces neuf titres), épuisant ou génial, à vous de vous faire votre opinion !
Bon 15/20 | par X_Lok |
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