The Blank Tapes
Ojos Rojos |
Label :
It's A Gas! / Honey Bomb / Bongtastic / Burger |
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Matt Adams n'a pas les Ojos Rojos parce qu'il est fatigué, non, on ne parle pas non plus d'une photo ratée de lui, non non, Matt Adams a ces fameux yeux rouges qui ne trompent personne, il continue la fumette "à usage (ré)créatif", ce qui le pousse à écrire et le dire à qui veut l'entendre avec son bébé The Blank Tapes.
Les années passent et cet homme ne change pas. Il est de ces Artistes qui ne modifient pas trop leur formule gagnante, mais que l'on aime tout de même suivre l'histoire ; on se sent bien dans ce confort d'écoute, on n'est pas du tout déboussolé, à peine surpris, on retrouve ce pour quoi l'on est venu et on en est bien content comme çà. À l'écoute de ce disque on s'imagine encore et toujours en vacances à flemmarder sur une plage ensoleillée, lunettes de soleil sur le nez, cocktails à côté de nous prêt à être siroté si l'on a la force de lever la main, maillot paré à toutes opportunités de baignades pour se rafraichir un peu – il fait chaud, très chaud... que c'est dur la vie de baba cool - ; de la surf-music dans les oreilles et un peu d'herbe dans son sac à dos (on est en Californie, c'est légal, c'est à usage récréatif qu'on vous dit...).
Le gars vous dira systématiquement qu'il fait du psychédélique-surf-pop-folk-rock et on continue de le croire et d'acquiescer parce qu'il fait tout çà et il le fait bien. Il reste le musicien exclusif de son groupe, invite quelques potes par-ci par-là pour faire un peu de basse ou un peu de chœurs façon pop rock des 60's "Sh-Bop Sh-Bop Yea" – histoire de dire qu'il est sociable comme mec – et il crée toujours sa propre pochette de disque. En fait ce fou fait son petit bonhomme de chemin dans son coin et souhaite la bienvenue à qui veut bien le suivre dans cette aventure tranquille, qui prend son temps, qui ne brusque pas, qui vous emmène vers les cieux dans des nuages cotonneux si tendre, si doux que l'on ne veut plus en redescendre. Il veut nous faire danser, mais attention on ne s'excite pas trop quand même ! Question paroles, il arrête de parler de marijuana... HAHA, comme si Matt en était capable ! Non il continue éternellement sauf que maintenant les filles sont à ses côtés et qu'il a envie de parler d'elle ; par contre on ne sait pas qui est sa priorité... peut-être que la dernière piste "I Can't Make It Alone" nous donne un indice... hum...
En 2016 The Blank Tapes reste The Blank Tapes et on l'aime comme çà.
Les années passent et cet homme ne change pas. Il est de ces Artistes qui ne modifient pas trop leur formule gagnante, mais que l'on aime tout de même suivre l'histoire ; on se sent bien dans ce confort d'écoute, on n'est pas du tout déboussolé, à peine surpris, on retrouve ce pour quoi l'on est venu et on en est bien content comme çà. À l'écoute de ce disque on s'imagine encore et toujours en vacances à flemmarder sur une plage ensoleillée, lunettes de soleil sur le nez, cocktails à côté de nous prêt à être siroté si l'on a la force de lever la main, maillot paré à toutes opportunités de baignades pour se rafraichir un peu – il fait chaud, très chaud... que c'est dur la vie de baba cool - ; de la surf-music dans les oreilles et un peu d'herbe dans son sac à dos (on est en Californie, c'est légal, c'est à usage récréatif qu'on vous dit...).
Le gars vous dira systématiquement qu'il fait du psychédélique-surf-pop-folk-rock et on continue de le croire et d'acquiescer parce qu'il fait tout çà et il le fait bien. Il reste le musicien exclusif de son groupe, invite quelques potes par-ci par-là pour faire un peu de basse ou un peu de chœurs façon pop rock des 60's "Sh-Bop Sh-Bop Yea" – histoire de dire qu'il est sociable comme mec – et il crée toujours sa propre pochette de disque. En fait ce fou fait son petit bonhomme de chemin dans son coin et souhaite la bienvenue à qui veut bien le suivre dans cette aventure tranquille, qui prend son temps, qui ne brusque pas, qui vous emmène vers les cieux dans des nuages cotonneux si tendre, si doux que l'on ne veut plus en redescendre. Il veut nous faire danser, mais attention on ne s'excite pas trop quand même ! Question paroles, il arrête de parler de marijuana... HAHA, comme si Matt en était capable ! Non il continue éternellement sauf que maintenant les filles sont à ses côtés et qu'il a envie de parler d'elle ; par contre on ne sait pas qui est sa priorité... peut-être que la dernière piste "I Can't Make It Alone" nous donne un indice... hum...
En 2016 The Blank Tapes reste The Blank Tapes et on l'aime comme çà.
Très bon 16/20 | par Beckuto |
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