Lauren Hoffman
Grenoble [Le Ciel] - lundi 22 mai 2006 |
Se présenter sur scène seule avec une guitare ou un piano n'est pas un exercice facile. Lauren Hoffman s'en est très bien sorti ce soir là.
La tâche n'était pourtant pas simple. Encore complètement sous le charme de la prestation en première partie des Great Like Swimmers, j'ai d'ailleurs eu un peu de mal à rentrer dans l'univers très intimiste de la douce américaine. Souvent présenté comme une des meilleurs auteurs compositeur actuel, elle n'a ce soir là pas failli à sa réputation. En un peu plus d'une heure, avec deux chansons en rappel, elle nous a présenté la quasi intégralité de son dernier album, celui qui a signé son retour après 6ans d'interruption et sorti sur le toujours impeccable label fargo. Les chansons sont enchanteresses, dans un dénuement quasi maximum on peut s'apercevoir de toute l'importance de son talent. Et elle en a. Il serait difficile et inutile de tout décrire, mais si vous avez la bonne idée d'aller la voir en concert je vous conseille de vous familiariser à ses albums sous peine de trouver le set monotone. Ce qui fut le cas de certains. Ceux qui ont apprécié, j'en fait parti, sont reparti apaisé par cette musique et épaté par deux concerts époustouflant.
La salle s'appelle le ciel, donc quoi de plus normal qu'un ange passe. Cet ange s'appelait Lauren.
La tâche n'était pourtant pas simple. Encore complètement sous le charme de la prestation en première partie des Great Like Swimmers, j'ai d'ailleurs eu un peu de mal à rentrer dans l'univers très intimiste de la douce américaine. Souvent présenté comme une des meilleurs auteurs compositeur actuel, elle n'a ce soir là pas failli à sa réputation. En un peu plus d'une heure, avec deux chansons en rappel, elle nous a présenté la quasi intégralité de son dernier album, celui qui a signé son retour après 6ans d'interruption et sorti sur le toujours impeccable label fargo. Les chansons sont enchanteresses, dans un dénuement quasi maximum on peut s'apercevoir de toute l'importance de son talent. Et elle en a. Il serait difficile et inutile de tout décrire, mais si vous avez la bonne idée d'aller la voir en concert je vous conseille de vous familiariser à ses albums sous peine de trouver le set monotone. Ce qui fut le cas de certains. Ceux qui ont apprécié, j'en fait parti, sont reparti apaisé par cette musique et épaté par deux concerts époustouflant.
La salle s'appelle le ciel, donc quoi de plus normal qu'un ange passe. Cet ange s'appelait Lauren.
Excellent ! 18/20 | par Mozz |
En ligne
315 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages