Agenda/News
Posté le 22 novembre 2010 à 01 h 46m 34s |
[img]http://dodesk.aden.free.fr/images/bannie
re.jpg[/img]
[b]HORS LES MURS ! EN NOVEMBRE 2010[/b]
[b]///////////////////////////[/b]
MERCREDI 24 NOVEMBRE
20H30 - 5€
Grand Guignol
91 montée de la grande côte
69001 Lyon
[b]///////////////////////////
BEN RUSSELL
THE BLACK & WHITE GODS
CINÉ-PERFORMANCE
(16 MM + LIVE NOISE)
PSYCHO-FLICKS FROM CHICAGO AND SURINAME[/b]
Ben Russell réalise des films en 16 mm, de façon artisanale, depuis plus d'une dizaine d'années. Son travail se situe à la croisée du cinéma expérimental américain des années 60-70, des racines du cinéma ethnographique, et de l'esprit de renouveau psychédélique d'une nouvelle génération d'artistes américains. Au Surinam, à Dubaï, ou chez lui à Chicago, Il filme avec une simplicité évidente les flux, les rites, les gestes, la vie terrestre et spirituelle de ses contemporains. Ses expérimentations cinématographiques se prolongent jusque dans la salle, où il actionne lui même ses projecteurs, accompagne ses images de créations sonores, et viens parfois même jouer avec ses personnages sur l'écran.
http://www.dimeshow.com
[img]http://dodesk.aden.free.fr/images/benrus
sel.gif[/img]
[b]///////////////////////////[/b]
SAMEDI 27 NOVEMBRE
20H30 - 5€
Grrrnd Zero Gerland
40 rue pré Gaudry
69007 Lyon
Metro Jean Jaurès
[b]///////////////////////////[/b]
[img]http://www.grrrndzero.org/site2/images/s
tories/famille.jpg[/img]
[b]Ciné Oblò (Lausanne)[/b]
Ricardo da Silva s'est engagé dans le cinéma Oblo aprés avoir travaillé pour Pathé. Autodidacte et fauché, il commence par ramasser des pellicules de films le soir dans les poubelles. Il les gratte, les peint, les brûle et finit par les recomposer. Par le montage et la transformation du support pellicule, il nous raconte des histoires. D'autres histoires. Le digital et l'analogique se mélangent, la narration devient un terrain de jeu. Cartoons fascistes, travelling dans des supermarchés, discours de propagande et dystopies consuméristes deviennent le miroir de notre présent qui se diffracte vers d'autres possibles.
[b]Pour un soir, le ciné Oblò s'associera à nos artistes locaux pour des performances vidéo/noise uniques ![/b]
[img]http://dodesk.aden.free.fr/images/9juill
et_image01[/img]
[b]PRINCE RAMA (Brooklyn, energic psyche)[/b]
Prince Rama of Ayodhya est un trio de hipippies qui se sont rencontrés, selon la légende de la presse musicale, dans une ferme Hare Krishna, qu'ils quittèrent pour se rendre à Boston. Depuis qu'Animal Collective s'est compagniecréolisé, nous sommes toujours à l'affût frustré d'un groupe de weird folk qui saurait faire le tour du monde... c'est ce qu'arrive à faire de manière assez brillante Prince Rama of Ayodhya, qui tire son nom de la mythologie hindoue, comme vous l'expliquera mieux que moi et avec plus d'erreurs wikipedia. Un trio guitare, synthé, percussions qui aime à communier avec le public en distribuant cloches et divers petits instruments. Il mêle des influences psychédéliques (acid mother n'est pas loin parfois...), indiennes (hare krishna nanana nanère), médiévales (la réverbe sur la voix... mon dieu que ça sonnerait bien dans une église... et ferait s'arracher les cheveux notre ami le sondier) et tribales (oui on aime les filles qui joue de la batterie!).
[url=http://freemusicarchive.org/music/Prince
_Rama_of_Ayodhya/Live_at_WFMU_on_Brian_Turner
s_Show_51209/]Live_at_WFMU_on_Brian_Turners_S
how_51209][/url]
http://www.myspace.com/princeramaofayodhya
Petite vidéo de leur concert de l'an passé au Grrrnd Zero (merci steph):
[video]http://www.youtube.com/watch?v=sjriqlF
lZcY[/video]
[b]PLUS D'INFOS : [url]http://dodesk.aden.free.fr[/url][/b]
[b]La lutta continua !!![/b]
Après deux mois et demi de programmation et de rencontres autour d'images et de sons, nous voici devenus Sans Dodeskaden Fixe. Non pas en disparition ni en sursis, mais engagés dans la recherche active d'un lieu pérenne pour poursuivre le travail amorcé. Aujourd'hui, les négociations sont engagées avec la municipalité tout comme le rapprochement avec les collectifs et les structures indépendantes de diffusion. De manière moins visible, le travail se poursuit donc et notre détermination reste intacte. Ce lieu nous l'obtiendrons, même si nous sommes conscients que ce processus prendra sans doute du temps. En attendant, Dodeskaden vivra donc hors les murs* et sillonnera la ville pendant les mois à venir pour proposer des films, des dispositifs d'images et des rencontres avec les auteurs.
En espérant que vous serez toujours là.
Posté le 22 novembre 2010 à 08 h 15m 08s |
"Depuis qu'Animal collective s'est compagniecréolisé"