Elisa Ambrogio
The Immoralist |
Label :
Drag City |
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Envoûtant. Voilà comment on pourrait résumer en un mot le premier album d'Elisa Ambrogio, front girl de Magik Markers de son état. Des petites chansons ciselées, arrangées avec ce qu'il faut de magie pour nous maintenir dans un état de rêve éveillé. Tout au long de ces dix titres Elisa caresse, sans pour autant nous ennuyer avec cette pop revêche. Quand la guitare se fait noisy ("Mary Perfectly"), c'est pour mieux nous accrocher un peu plus loin avec un piano tout en écho. La voix parfois en retrait d'un violoncelle accueillant, une légère ambiance sombre faite de petits bruits complète avec majesté le tout, une vraie classe se dégage de The Immortalist, tout en nuance et en légèreté (apparente).
Un soupçon de shoegaze se décèle sur certains titres, parfois c'est la rythmique qui s'accélère d'un coup pour mieux nous prendre la main & nous guider vers la pop torturée et la fin de l'album ("Comers"), pour finalement se rendre compte que l'album passe bien trop vite, qu'on est forcément passer à côté de certains moments forts qui ne se révèleront qu'aux écoutes suivantes.
Un disque presque intime, qui se savoure seul, pour se laisser hanter et complétement absorbé par The Immoralist. Envoûtant je vous disais, c'est clairement le mot qui convient.
Un soupçon de shoegaze se décèle sur certains titres, parfois c'est la rythmique qui s'accélère d'un coup pour mieux nous prendre la main & nous guider vers la pop torturée et la fin de l'album ("Comers"), pour finalement se rendre compte que l'album passe bien trop vite, qu'on est forcément passer à côté de certains moments forts qui ne se révèleront qu'aux écoutes suivantes.
Un disque presque intime, qui se savoure seul, pour se laisser hanter et complétement absorbé par The Immoralist. Envoûtant je vous disais, c'est clairement le mot qui convient.
Très bon 16/20 | par X_Lok |
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