Orange Alabaster Mushroom
Space & Time: A Compendium Of The Orange Alabaster Mushroom |
Label :
Hidden Agenda |
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Quel peut bien être le dernier album en date contenant autant de fuzz et ce "son" si particulier ??? Houlà... c'est difficile à dire ça... Hum... Iron Butterfly... Nazz... Pfffff... J'sais pas. Et j'm'en fous, quelle importance ?
Cet album est une sucrerie. Mais une sucrerie "acid" bîen entendu. Il se déguste langoureusement, jusquà cette bouffée de chaleur caractéristique et délicieuse. Les nappes de claviers prennent le pas... et moi, je ne m'en plains pas. Bien au contraire. Elles m'accompagnent. Elles m'emportent. Loin. C'est agréable.
Bizarrement, je m'amuse à (re)découvrir ce son de fuzz. Comme si je ne l'avais pas déjà entendu mille fois. Il y a ce moment particulier -euphorique et étrange- où l'on ne distingue plus le rêve de la réalité, si bien que, quelques fois, je crois apercevoir, à travers les ronds de fumée qui m'entourent, Donovan et même Ravi Shankar !... J'ai même cru que Syd Barrett me glissait quelques mots dans l'oreille. Mais qui sont ce "Rainbow Man" et cette "Valerie Vanillaroma" ? Pas la moindre idée. J'ai l'impression de les connaître. Je les aime bien. Il y a des instants où l'on aime tout le monde. Où l'on veut connaître tout le monde. Où l'on veut connaître le monde.
Les réminiscences de "Interstellar Overdrive" sont exquises. Puis le temps et l'espace ne font qu'un... "Space and Time". Beaucoup de choses s'éclaircissent. Oui, les choses s'éclaircissent, elles deviennent limpides. La fuzz y est pour beaucoup. J'aime ça la fuzz. Elle fait du bien. Enormément de bien.
Ensuite le jour se lève... Il fait beau, très beau. It's a Sunny Day. Les oiseaux chantent. Le monde nous rappelle. Est-ce un mal ? Pas toujours. Pas maintenant en tout cas.
Au pire il ne tient qu'à soi de se laisser aller à fermer les yeux. De se laisser aller. Encore quelques instants. Pour renconter "Mister Day". Lui aussi je l'aime bien. Il m'est sympathique et familier.
J'en aurais fait des rencontres juste à cause d'une friandise. Mais ça ne me déplaît pas. Bien au contraire.
Malheureusement, toutes les sucreries se terminent. Aussi "acid" soient elles. On se dit alors que l'on goûterait bien toutes les sucreries du monde. Par délectation et par plaisir. Oui, on sait que l'on s'y refera prendre.
Cet album est une sucrerie. Mais une sucrerie "acid" bîen entendu. Il se déguste langoureusement, jusquà cette bouffée de chaleur caractéristique et délicieuse. Les nappes de claviers prennent le pas... et moi, je ne m'en plains pas. Bien au contraire. Elles m'accompagnent. Elles m'emportent. Loin. C'est agréable.
Bizarrement, je m'amuse à (re)découvrir ce son de fuzz. Comme si je ne l'avais pas déjà entendu mille fois. Il y a ce moment particulier -euphorique et étrange- où l'on ne distingue plus le rêve de la réalité, si bien que, quelques fois, je crois apercevoir, à travers les ronds de fumée qui m'entourent, Donovan et même Ravi Shankar !... J'ai même cru que Syd Barrett me glissait quelques mots dans l'oreille. Mais qui sont ce "Rainbow Man" et cette "Valerie Vanillaroma" ? Pas la moindre idée. J'ai l'impression de les connaître. Je les aime bien. Il y a des instants où l'on aime tout le monde. Où l'on veut connaître tout le monde. Où l'on veut connaître le monde.
Les réminiscences de "Interstellar Overdrive" sont exquises. Puis le temps et l'espace ne font qu'un... "Space and Time". Beaucoup de choses s'éclaircissent. Oui, les choses s'éclaircissent, elles deviennent limpides. La fuzz y est pour beaucoup. J'aime ça la fuzz. Elle fait du bien. Enormément de bien.
Ensuite le jour se lève... Il fait beau, très beau. It's a Sunny Day. Les oiseaux chantent. Le monde nous rappelle. Est-ce un mal ? Pas toujours. Pas maintenant en tout cas.
Au pire il ne tient qu'à soi de se laisser aller à fermer les yeux. De se laisser aller. Encore quelques instants. Pour renconter "Mister Day". Lui aussi je l'aime bien. Il m'est sympathique et familier.
J'en aurais fait des rencontres juste à cause d'une friandise. Mais ça ne me déplaît pas. Bien au contraire.
Malheureusement, toutes les sucreries se terminent. Aussi "acid" soient elles. On se dit alors que l'on goûterait bien toutes les sucreries du monde. Par délectation et par plaisir. Oui, on sait que l'on s'y refera prendre.
Bon 15/20 | par X_Jpbowersock |
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