Ufomammut
Oro - Opus Primum |
Label :
Neurot |
||||
Vos voisins vous emmerdent avec leur dance? vous ne supportez plus les samedi soir à entendre claquer les talons au dessus de chez vous au rythme de Gala, de 2 Unlimited, et vous chercher à passer du bon temps le dimanche, tout en, l'air de rien, leur pourrir leur gueule de bois.* Ufomammut est là pour filer un coup de main. Ce disque est fait pour vous.
Du rythme lourd, une basse à faire trembler les murs, des cris, (chacun des membres est crédité pour les "Screams" dans la pochette), des morceaux étirés au maximum (51 minutes pour 5 titres). "Empireum" donne le ton, une intro toute en drone synthétique, mélodie sortie d'une boite à musique, lente progression sludge de près d'un quart d'heure, le disque entier suit la lente progression, on pourrait y accoler tous les termes inhérents au genre : doom, stoner, sludge, la lenteur associée à la lourdeur, les riffs aux martèlements des toms, des paroles scandées à l'infini, une ambiance apocalyptique, le genre de musique pour accompagner une fin du monde comme il faut. Mais une fin du monde en deux parties, ce Omo -Opus Premium, comme son nom l'indique, n'est que le premier volet de l'oeuvre entière, le second volet sortirait en septembre, pour un projet de dix titres, une suite de dix pièces, ne formant qu'un tout, un ensemble fluctuant dans les sphères le plus obscures de la musique, à écouter le plus fort possible évidemment, afin d'en ressentir toute la force, se faire enivrer, jusqu'au point d'orgue livré cette automne, pour une véritable symphonie en dix mouvements, mutant musical en perpétuelle évolution, une parthénogenèse jamais totalement achevée.
* : ceci est une histoire vécue.
Du rythme lourd, une basse à faire trembler les murs, des cris, (chacun des membres est crédité pour les "Screams" dans la pochette), des morceaux étirés au maximum (51 minutes pour 5 titres). "Empireum" donne le ton, une intro toute en drone synthétique, mélodie sortie d'une boite à musique, lente progression sludge de près d'un quart d'heure, le disque entier suit la lente progression, on pourrait y accoler tous les termes inhérents au genre : doom, stoner, sludge, la lenteur associée à la lourdeur, les riffs aux martèlements des toms, des paroles scandées à l'infini, une ambiance apocalyptique, le genre de musique pour accompagner une fin du monde comme il faut. Mais une fin du monde en deux parties, ce Omo -Opus Premium, comme son nom l'indique, n'est que le premier volet de l'oeuvre entière, le second volet sortirait en septembre, pour un projet de dix titres, une suite de dix pièces, ne formant qu'un tout, un ensemble fluctuant dans les sphères le plus obscures de la musique, à écouter le plus fort possible évidemment, afin d'en ressentir toute la force, se faire enivrer, jusqu'au point d'orgue livré cette automne, pour une véritable symphonie en dix mouvements, mutant musical en perpétuelle évolution, une parthénogenèse jamais totalement achevée.
* : ceci est une histoire vécue.
Excellent ! 18/20 | par X_Lok |
En ligne
569 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages