Pussy Galore
Groovy Hate Fuck |
Label :
Vinyl Drip |
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Bon là il va falloir être indulgent. Ou très fan de Jon Spencer alors. Sinon c'est pas la peine. Vais pas me casser le cul pour un album ni fait ni à faire que personne n'écoutait en 1987. Alors en 2010 hein.
Pourtant tout est déjà là. Bon oui sauf la production, c'est bon on a dit qu'on parlait pas de la production merde ! On est en 1987, le Thurtonmooréosaurus Erectus vient de découvrir qu'on pouvait produire des sons en frappant des intestins de chats séchés et tendus sur une planche à laver à l'aide d'un tibia. Faut pas comparer ce qui n'est pas comparable aussi quoi !
Bon regardez ces titres: "Teen Pussy Power", "You look like a Jew" ( ah non pas celui-là merde ), euh, "Dead Meat", "Die Bitch" tout ça, c'est marrant ça non ? Non ? Ah bon.
Et euh sinon c'est charmant quand même ces collages brutaux de cris, de percussions et de larsens sur "Constant Pain" ? Hein ? D'aucuns diraient même que c'est séminal. Bigbangesque même, comme ces collisions que nos misérables eprits humains perçoivent comme aléatoires, alors qu'elles sont en fait programmées et régies par un incalculable nombre de règles physiques et...
Hey !
Attendez, j'ai pas terminé !
Le mieux c'est encore d'y jeter une oreille non ? C'est indescriptible, déstructuré, ça reste du collage disparate de post-punks branchés qui assument encore mal l'influence du Rock'n Roll à papa. Jon Spencer atteindra son climax sobre avec "Now I got worry". Disons alors que ce "Groovy Hate Fuck" est son Döppelgänger...Pardon son double maléfique et hirsute. Si c'était encore possible. Ca va comme ça ? Toujours pas convaincus ?
Allez soyez sympas quoi, écoutez-le au moins une fois c't'album hein ? D'accord ? Promis ?
Pourtant tout est déjà là. Bon oui sauf la production, c'est bon on a dit qu'on parlait pas de la production merde ! On est en 1987, le Thurtonmooréosaurus Erectus vient de découvrir qu'on pouvait produire des sons en frappant des intestins de chats séchés et tendus sur une planche à laver à l'aide d'un tibia. Faut pas comparer ce qui n'est pas comparable aussi quoi !
Bon regardez ces titres: "Teen Pussy Power", "You look like a Jew" ( ah non pas celui-là merde ), euh, "Dead Meat", "Die Bitch" tout ça, c'est marrant ça non ? Non ? Ah bon.
Et euh sinon c'est charmant quand même ces collages brutaux de cris, de percussions et de larsens sur "Constant Pain" ? Hein ? D'aucuns diraient même que c'est séminal. Bigbangesque même, comme ces collisions que nos misérables eprits humains perçoivent comme aléatoires, alors qu'elles sont en fait programmées et régies par un incalculable nombre de règles physiques et...
Hey !
Attendez, j'ai pas terminé !
Le mieux c'est encore d'y jeter une oreille non ? C'est indescriptible, déstructuré, ça reste du collage disparate de post-punks branchés qui assument encore mal l'influence du Rock'n Roll à papa. Jon Spencer atteindra son climax sobre avec "Now I got worry". Disons alors que ce "Groovy Hate Fuck" est son Döppelgänger...Pardon son double maléfique et hirsute. Si c'était encore possible. Ca va comme ça ? Toujours pas convaincus ?
Allez soyez sympas quoi, écoutez-le au moins une fois c't'album hein ? D'accord ? Promis ?
Excellent ! 18/20 | par Gérard Cousin |
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