Girl In A Coma
Both Before I'm Gone |
Label :
Blackheart |
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Le monde est ainsi fait. On nous sert de la soupe à la radio à longueur de journée, on nous sort sans cesse des reformations de vieux groupes, on déclare 'Diva' n'importe quelle junky. Et pour écouter de la bonne musique, il faut fouiller soi-même, fouiner sur les compilations indé d'outre-atlantique.
Il fallait donc beaucoup de chance pour tomber sur ce CD non distribué en France. Et pourtant, cet pépite du label de Joan Jett est l'un des tout meilleurs album de l'année 2007.
3 Texanes, dans un combo guitare/basse/batterie classique, boosté par le songwriting magistral de sa chanteuse Nina Diaz. Grunge, garage ... peu importe la classification, la musique de GIAC ne nous prend pas pour des idiots. Comme "Road To Home", belle ballade névrosée (voir le clip avec le transsexuel Amanda Lepore). Ou "Say", la piste la plus rythmée, qui accroche le plus. Ou encore "Clumsy Sky" ou "Their Cell", ma chanson préférée de l'album, les instruments sont limpides, la voix de Nina pousse haut sans jamais brailler, les riffs sont impeccables et la tête de l'auditeur dodeline automatiquement. Oublier la configuration couplet/refrain/couplet, Nina compose sans se soucier des formats.
Tout est bon sur cette galette dont le nom vient d'une citation de James Dean. On y trouve de l'énergie, une vraie sensibilité, un excellent sens du rythme et des mélodies. Une musique belle comme un tatouage : personnelle, à fleur de peau... et bien incrustée.
A défaut d'être présent chez les disquaires français, GIAC a pu accompagner Morrissey lors de sa tournée Européenne début 2008 pour faire les premières parties. Alors on attend déjà le second avec impatience et cette fois, ceux qui passeront à coté n'auront pas d'excuses.
Il fallait donc beaucoup de chance pour tomber sur ce CD non distribué en France. Et pourtant, cet pépite du label de Joan Jett est l'un des tout meilleurs album de l'année 2007.
3 Texanes, dans un combo guitare/basse/batterie classique, boosté par le songwriting magistral de sa chanteuse Nina Diaz. Grunge, garage ... peu importe la classification, la musique de GIAC ne nous prend pas pour des idiots. Comme "Road To Home", belle ballade névrosée (voir le clip avec le transsexuel Amanda Lepore). Ou "Say", la piste la plus rythmée, qui accroche le plus. Ou encore "Clumsy Sky" ou "Their Cell", ma chanson préférée de l'album, les instruments sont limpides, la voix de Nina pousse haut sans jamais brailler, les riffs sont impeccables et la tête de l'auditeur dodeline automatiquement. Oublier la configuration couplet/refrain/couplet, Nina compose sans se soucier des formats.
Tout est bon sur cette galette dont le nom vient d'une citation de James Dean. On y trouve de l'énergie, une vraie sensibilité, un excellent sens du rythme et des mélodies. Une musique belle comme un tatouage : personnelle, à fleur de peau... et bien incrustée.
A défaut d'être présent chez les disquaires français, GIAC a pu accompagner Morrissey lors de sa tournée Européenne début 2008 pour faire les premières parties. Alors on attend déjà le second avec impatience et cette fois, ceux qui passeront à coté n'auront pas d'excuses.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par César |
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