The Whip
X Marks Destination |
Label :
Southern Fried |
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Oui, ça sonne années 80 et ça surfe sur le revival. Mais quand même, y'a du bon ! Les 80's ont tellement été conchiées ces 20 dernières années que l'on découvre finalement qu'il en est sorti des expérimentations et des courants artistiques primordiaux.
Donc, pour en revenir à The Whip, à la première écoute, on a l'impression d'écouter New Order remis au goût du jour, avec une voix un peu enrayée. Deuxième écoute, dès la première piste, "Trash", on s'en prend en fait plein la gueule. Une bonne base electro, quelques riffs de guitare passés à la fuzz, et des paroles qui tournent en boucle. Ca peut paraître peu, mais l'organisation du morceau le rend complètement dément, ça n'arrête pas de monter, puis ça explose encore et encore. Une autre track, un peu plus tard, nommée "Frustration" prend des airs 100% New Order et new-wave, avec des paroles directement sorties d'un disque de Depeche Mode : 'It's cold outside, and it's later that you think, let it go'... hm-hm... à dire comme ça, on dirait du Indochine traduit en anglais, mais quand même, c'est bon Indo.
"Sirens" reprend la même recette, une base electro avec ses petits riffs de guitare simple et entêtant qui procurent une sensation de puissance, comme pour les Chameleons, mélangés à des petites nappes de synthés dignes de A-ha... Viens le tube "Divebomb", version non-remixée par Crystal Castles, passons, c'est pas le meilleur morceau. "DubSex" n'a rien du tout de dub, ça sonne encore bien, tout en étant moins péchu. Le disque comporte également par-ci par-là des morceaux moins accrocheurs mais qui se laissent écouter, toujours avec une base dancefloor.
Donc, en condensé, ce disque reprend avec succès le cocktail 80's, une pointe de nonchalance, du dancefloor et un poil de ridicule-qui-ne-tue-pas, et qui devient même addictif. Yi-chi-san-shi.
Donc, pour en revenir à The Whip, à la première écoute, on a l'impression d'écouter New Order remis au goût du jour, avec une voix un peu enrayée. Deuxième écoute, dès la première piste, "Trash", on s'en prend en fait plein la gueule. Une bonne base electro, quelques riffs de guitare passés à la fuzz, et des paroles qui tournent en boucle. Ca peut paraître peu, mais l'organisation du morceau le rend complètement dément, ça n'arrête pas de monter, puis ça explose encore et encore. Une autre track, un peu plus tard, nommée "Frustration" prend des airs 100% New Order et new-wave, avec des paroles directement sorties d'un disque de Depeche Mode : 'It's cold outside, and it's later that you think, let it go'... hm-hm... à dire comme ça, on dirait du Indochine traduit en anglais, mais quand même, c'est bon Indo.
"Sirens" reprend la même recette, une base electro avec ses petits riffs de guitare simple et entêtant qui procurent une sensation de puissance, comme pour les Chameleons, mélangés à des petites nappes de synthés dignes de A-ha... Viens le tube "Divebomb", version non-remixée par Crystal Castles, passons, c'est pas le meilleur morceau. "DubSex" n'a rien du tout de dub, ça sonne encore bien, tout en étant moins péchu. Le disque comporte également par-ci par-là des morceaux moins accrocheurs mais qui se laissent écouter, toujours avec une base dancefloor.
Donc, en condensé, ce disque reprend avec succès le cocktail 80's, une pointe de nonchalance, du dancefloor et un poil de ridicule-qui-ne-tue-pas, et qui devient même addictif. Yi-chi-san-shi.
Bon 15/20 | par Themesser |
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