Rubin Steiner
Lo-Fi Nu Jazz Vol. 2 |
Label :
Platinum |
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Voilà un disque original qui, disons le clairement, n'a pas besoin d'être écouté longtemps pour être cerné ! Cerné, on a dit, et pas compris. Car si la musique de Rubin Steiner est facilement appréhensive (rythmique et mélodies basiques en boucles avec multiples variations, trip-hop penchant drum n bass quoi), elle ne reste cependant pas plus facile d‘accès.
Cette dernière est également facilement descriptible : elle n'est qu'un gros bidouillage de rythmiques en tous genres et de mélodies tantôt volées et posées telles quelles ("Lo-Fi Nu Jazz # 6", "Rubin Steiner Plays Jazz"), tantôt minimalistes ("Lo-Fi Nu Jazz #13", "Fresh Casino", "Home Disco Karaoke"), tantôt un peu à coté de la plaque ("No Rest For Boulez Republic", "Lo-Fi Nu Jazz #8", "Lo-Fi Nu Jazz #5")... Mais que l'on ne s'y trompe pas : elle est aussi souvent porteuse d'idées vraiment décoiffantes, voire vraiment irrésistibles. Les rythmes sont bien souvent effrénés, et les mélodies bien délirantes, très entêtantes voire réellement aliénantes (dans le bon sens du terme). Tout ce joyeux capharnaüm donne une envie pressante et incontrôlable de se secouer dans tous les sens, de bouger son corps, bref, de faire la fête, avec ses amis ou tout seul dans sa chambre (insensé tout ce que peut faire un simple disque).
Bref, sur ce second volet du Lo-Fi Nu Jazz, Rubin reste bien fidèle à son registre, mais ne reste pas moins bon voire vraiment étonnant. Un disque qui mérite une plus ou moins brève attention pour son audace et son originalité. Et puis parce qu'il faut également faire vivre nos (rares) artistes français originaux !
Cette dernière est également facilement descriptible : elle n'est qu'un gros bidouillage de rythmiques en tous genres et de mélodies tantôt volées et posées telles quelles ("Lo-Fi Nu Jazz # 6", "Rubin Steiner Plays Jazz"), tantôt minimalistes ("Lo-Fi Nu Jazz #13", "Fresh Casino", "Home Disco Karaoke"), tantôt un peu à coté de la plaque ("No Rest For Boulez Republic", "Lo-Fi Nu Jazz #8", "Lo-Fi Nu Jazz #5")... Mais que l'on ne s'y trompe pas : elle est aussi souvent porteuse d'idées vraiment décoiffantes, voire vraiment irrésistibles. Les rythmes sont bien souvent effrénés, et les mélodies bien délirantes, très entêtantes voire réellement aliénantes (dans le bon sens du terme). Tout ce joyeux capharnaüm donne une envie pressante et incontrôlable de se secouer dans tous les sens, de bouger son corps, bref, de faire la fête, avec ses amis ou tout seul dans sa chambre (insensé tout ce que peut faire un simple disque).
Bref, sur ce second volet du Lo-Fi Nu Jazz, Rubin reste bien fidèle à son registre, mais ne reste pas moins bon voire vraiment étonnant. Un disque qui mérite une plus ou moins brève attention pour son audace et son originalité. Et puis parce qu'il faut également faire vivre nos (rares) artistes français originaux !
Sympa 14/20 | par TheWayYouSmiled |
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