The Desert Sessions
Vol. VII & VIII |
Label :
Southern Lord |
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Préfigurant la tornade sonique que sera Song For The Deaf ces septième et huitième sessions du side project 'Josh et ses potes' ne font pas figure de simples anecdotes dans la discographie du rouquin aux allures de géant vert...
On retrouve déjà Natasha Schneider et Alain Johannes du groupe Eleven, ainsi que les habitués de toujours Nick Oliveri et Chris Goss, entre autres, réunis une nouvelle fois au Rancho De La Luna pour bidouiller 13 chansons qui n'ont d'autres prétentions que d'assouvir les envies les plus farfelues de chacun.
Autant le dire tout de suite, ce cru est plutôt bon, l'équilibre entre déconne et chansons y est presque atteint. Il y en a pour tout les goûts: du punk avec "Polly Wants A Crack Rock" (hommage à Nirvana ?), de l'expérimental tout en cuivres, mandolines et choeurs siciliens avec "Don't Drink Poison", la pop bien troussée de "Nenada" et une pincée de rigolade (ben quand même) pour "Covousier", réecriture à l'humour noir d'une Soul façon Barry White. Saluons également l'arrivée de Johannes par la grande porte dans ce microcosme rock californien avec des compositions de la trempe de "Hangin' Tree" (devenu depuis un classique des classiques !) et la très belle "Making A Cross".
En découvrant une Desert Session, on ne peut prévoir à l'avance où on va se laisser mener (c'est d'ailleurs là que réside leur intéret) et bien qu'il soit difficile de produire en qualité un disque équivalent aux excellentes "1&2" et "5&6", c'est tout de même avec une joie non dissimulée qu'on prêtera l'oreille à ces drôles de morceaux frais et frapadingues.
Rien que du bon !
On retrouve déjà Natasha Schneider et Alain Johannes du groupe Eleven, ainsi que les habitués de toujours Nick Oliveri et Chris Goss, entre autres, réunis une nouvelle fois au Rancho De La Luna pour bidouiller 13 chansons qui n'ont d'autres prétentions que d'assouvir les envies les plus farfelues de chacun.
Autant le dire tout de suite, ce cru est plutôt bon, l'équilibre entre déconne et chansons y est presque atteint. Il y en a pour tout les goûts: du punk avec "Polly Wants A Crack Rock" (hommage à Nirvana ?), de l'expérimental tout en cuivres, mandolines et choeurs siciliens avec "Don't Drink Poison", la pop bien troussée de "Nenada" et une pincée de rigolade (ben quand même) pour "Covousier", réecriture à l'humour noir d'une Soul façon Barry White. Saluons également l'arrivée de Johannes par la grande porte dans ce microcosme rock californien avec des compositions de la trempe de "Hangin' Tree" (devenu depuis un classique des classiques !) et la très belle "Making A Cross".
En découvrant une Desert Session, on ne peut prévoir à l'avance où on va se laisser mener (c'est d'ailleurs là que réside leur intéret) et bien qu'il soit difficile de produire en qualité un disque équivalent aux excellentes "1&2" et "5&6", c'est tout de même avec une joie non dissimulée qu'on prêtera l'oreille à ces drôles de morceaux frais et frapadingues.
Rien que du bon !
Très bon 16/20 | par Judas |
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