Polmo Polpo
Like Hearts Swelling |
Label :
Constellation |
||||
Appartenir aujourd'hui à Constellation est peut-être une force supplémentaire pour Sandro Perri (homme seul à bord de Polmo Polpo) car son projet est bien loin des habituelles productions du label: il n'y a ici ni la colère de Hanged Up, ni les sublimes collages et bidouillages de Silver Mount Zion, ni la tension sous-jacente de GYBE.
Alors quoi ? Cet artiste en est-il moins intéressant ? Que nenni, et fort au contraire, la palette du label canadien s'en trouve élargie, et chacun s'y retrouve.
Souvenez-vous de ceci lorsque vous écouterez Polmo Polpo: mettre le casque est INDISPENSABLE.
Pourquoi ?
Parce que la subtilité ne s'apprécie que dans la tranquillité, voire dans le recueillement.
Et il en faut de la tranquillité et du recueillement pour s'imprégner de l'essence de ce disque. Il faut également de la concentration pour se rendre compte que cet album, qui semble d'abord statique, progresse tout au long de ces 47 minutes. C'est indéniable, même si elle ne monte pas en puissance, cette musique mute, se transforme et emmène l'auditeur loin de son point de départ.
Si je devais décrire cette musique, je dirai qu'elle est composée de strates électro acceptant les instruments organiques (guitares diverses, accordéon et violons) avec une facilité déconcertante.
Si je devais qualifier cette musique, je dirai qu'elle dégage de la sérénité, une force tranquille qui nous laisse songeur.
Alors quoi ? Cet artiste en est-il moins intéressant ? Que nenni, et fort au contraire, la palette du label canadien s'en trouve élargie, et chacun s'y retrouve.
Souvenez-vous de ceci lorsque vous écouterez Polmo Polpo: mettre le casque est INDISPENSABLE.
Pourquoi ?
Parce que la subtilité ne s'apprécie que dans la tranquillité, voire dans le recueillement.
Et il en faut de la tranquillité et du recueillement pour s'imprégner de l'essence de ce disque. Il faut également de la concentration pour se rendre compte que cet album, qui semble d'abord statique, progresse tout au long de ces 47 minutes. C'est indéniable, même si elle ne monte pas en puissance, cette musique mute, se transforme et emmène l'auditeur loin de son point de départ.
Si je devais décrire cette musique, je dirai qu'elle est composée de strates électro acceptant les instruments organiques (guitares diverses, accordéon et violons) avec une facilité déconcertante.
Si je devais qualifier cette musique, je dirai qu'elle dégage de la sérénité, une force tranquille qui nous laisse songeur.
Très bon 16/20 | par Hpl |
En ligne
454 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages