Drunk Horse
Tanning Salon / Biblical Proportions |
Label :
Man's Ruin |
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Sur ce deuxième album sorti chez Man's Ruin, le groupe -qui n'a pas encore véritablement trouvé son style-, nous offre 12 morceaux sur lesquels la voix d'Eli Eckert laisse plutôt place au côté instrumental.
Tanning Salon ouvre ainsi avec deux titres bourrés d'énergie, très rythmés et aux mélodies entraînantes. D'abord "Tanning Salon", puis "Am/Fm Shoes". Ce dernier est d'ailleurs coupé en de multiples parties : une intro détonante, laissant brusquement place à une atmosphère douce et planante, qui se fait ensuite de plus en plus sombre et profonde, avant de se terminer par un retour au riff initial. Ce subtile mélange des ambiances se retrouve également sur le morceau suivant "Secret Ingredient", qui commence avec une intro à la fois cristalline et mystérieuse, laissant place à une rythmique beaucoup plus rapide, suivie de guitares aiguisées, avant que le rythme ne ralentisse progressivement pour se terminer tout en douceur et en légèreté.
"Plastic Doll", bourré d'énergie et très axée sur le côté basse/batterie, nous extirpe brutalement de cette douceur envoûtante avant de laisser place à une sorte d'interlude, formé des morceaux "Intermission" et "In The Beginning". Quelques notes de piano et de sax sortent délicatement d'un profond silence, puis l'ambiance se fait plus solennelle, introduisant ainsi le surpuissant "Vicious And Loathes", suivi là encore d'un moment de silence à peine troublé par quelques bruits étranges, comme surgi de nulle part. Le très entraînant "Manchild" nous arrive en pleine figure, puis c'est encore une fois le retour au silence. C'est pratiquement la fin de l'album et résonnent quelques notes tout en douceur : "Is, Was...", totalement instrumental, envoûtant, apaisant, magique ... Pour terminer : "Revelation", sorte de cacophonie aux sonorités tiraillées dans tous les sens, vient nous ramener en sursaut à la réalité avant de s'arrêter brutalement.
Pour résumer, on pourrait dire que le groupe, qui semble encore chercher son style, explore différents univers musicaux laissant une large part à la dimension instrumentale, sur un album toutefois assez inégal.
Tanning Salon ouvre ainsi avec deux titres bourrés d'énergie, très rythmés et aux mélodies entraînantes. D'abord "Tanning Salon", puis "Am/Fm Shoes". Ce dernier est d'ailleurs coupé en de multiples parties : une intro détonante, laissant brusquement place à une atmosphère douce et planante, qui se fait ensuite de plus en plus sombre et profonde, avant de se terminer par un retour au riff initial. Ce subtile mélange des ambiances se retrouve également sur le morceau suivant "Secret Ingredient", qui commence avec une intro à la fois cristalline et mystérieuse, laissant place à une rythmique beaucoup plus rapide, suivie de guitares aiguisées, avant que le rythme ne ralentisse progressivement pour se terminer tout en douceur et en légèreté.
"Plastic Doll", bourré d'énergie et très axée sur le côté basse/batterie, nous extirpe brutalement de cette douceur envoûtante avant de laisser place à une sorte d'interlude, formé des morceaux "Intermission" et "In The Beginning". Quelques notes de piano et de sax sortent délicatement d'un profond silence, puis l'ambiance se fait plus solennelle, introduisant ainsi le surpuissant "Vicious And Loathes", suivi là encore d'un moment de silence à peine troublé par quelques bruits étranges, comme surgi de nulle part. Le très entraînant "Manchild" nous arrive en pleine figure, puis c'est encore une fois le retour au silence. C'est pratiquement la fin de l'album et résonnent quelques notes tout en douceur : "Is, Was...", totalement instrumental, envoûtant, apaisant, magique ... Pour terminer : "Revelation", sorte de cacophonie aux sonorités tiraillées dans tous les sens, vient nous ramener en sursaut à la réalité avant de s'arrêter brutalement.
Pour résumer, on pourrait dire que le groupe, qui semble encore chercher son style, explore différents univers musicaux laissant une large part à la dimension instrumentale, sur un album toutefois assez inégal.
Sympa 14/20 | par Lydia |
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