Vision Of Disorder
Vision Of Disorder |
Label :
Roadrunner |
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Après nous avoir fait saliver avec leur premier EP Still en 1995, on attendait avec impatience la sortie du 'vrai' album des Vision Of Disorder, sensé mettre le feu aux poudres et placer le groupe parmi les valeur montantes du hardcore.
Sans déconner, cet album éponyme fait bien mieux que ça, il nous pète à la gueule littéralement et nous scotche les burnes au plafond tant le groupe fait déjà étalage de son savoir faire hors du commun pour allier les mélodies et les riffs ultra violents.
A l'écoute de cette tuerie, on peut déjà en conclure que les mecs qui composent ce groupe sont très loin d'être des manchots avec leurs instruments, la richesse et l'impact de certains titres sont tout simplement hallucinants "Element, Zone Zero" ; on peut aussi rester bouche bée devant les performances vocales de Tim Williams, qui doit frôler l'arrachement des cordes vocales sur "Viola" ou "Divide" tout en se permettant de modifier son timbre lors de refrains "aériens", on a l'impression qu'il y a deux chanteurs chez V.O.D tout simplement !
Si V.O.D semble au dessus du lot, c'est que son style est novateur et si il n'y avait pas ce son batard qu'on retrouve chez la plupart des groupes de hardcore de l'époque, il est clair que ce chef d'œuvre serait encore plus énorme (heureusement il y aura Imprint).
Ce son à la con est peut être le lien le plus fort qui relie V.O.D au hardcore, car ce groupe n'en restera pas là, il ira certainement plus loin que Brooklyn et essaiera de s'extirper de cette étiquette hardcore au risque de perdre des fans... mais l'évolution a un prix !
Sans déconner, cet album éponyme fait bien mieux que ça, il nous pète à la gueule littéralement et nous scotche les burnes au plafond tant le groupe fait déjà étalage de son savoir faire hors du commun pour allier les mélodies et les riffs ultra violents.
A l'écoute de cette tuerie, on peut déjà en conclure que les mecs qui composent ce groupe sont très loin d'être des manchots avec leurs instruments, la richesse et l'impact de certains titres sont tout simplement hallucinants "Element, Zone Zero" ; on peut aussi rester bouche bée devant les performances vocales de Tim Williams, qui doit frôler l'arrachement des cordes vocales sur "Viola" ou "Divide" tout en se permettant de modifier son timbre lors de refrains "aériens", on a l'impression qu'il y a deux chanteurs chez V.O.D tout simplement !
Si V.O.D semble au dessus du lot, c'est que son style est novateur et si il n'y avait pas ce son batard qu'on retrouve chez la plupart des groupes de hardcore de l'époque, il est clair que ce chef d'œuvre serait encore plus énorme (heureusement il y aura Imprint).
Ce son à la con est peut être le lien le plus fort qui relie V.O.D au hardcore, car ce groupe n'en restera pas là, il ira certainement plus loin que Brooklyn et essaiera de s'extirper de cette étiquette hardcore au risque de perdre des fans... mais l'évolution a un prix !
Parfait 17/20 | par Interpolian |
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