The Damage Manual
The Damage Manual |
Label :
Invisible |
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'The first great band of the 21 st Century'... C'est le slogan marketing qui apparaît sur le sticker de mon CD afin de présenter cet album de The Damage Manual... Il y a de quoi s'exciter, surtout si vous êtes sensibles à la couleur orange de la pochette et qu'elle vous rappelle les petites hollandaises pas farouches traînant leurs allures de soubrettes devant votre tante de camping (oui, le orange c'est la couleur de la Hollande, et qui dit Hollande dit chaudasses !).
Bref, passons à la matière musicale de cet album pondu par de vieux briscards qui flirtent tranquillement avec des influences punk, electro, indus et pop, quoi de plus normal quand on est membres de Killing Joke, Public Image Limited ou de Ministry d'exploiter son savoir-faire et ses capacités en utilisant ses acquis !
Une agréable surprise que cet album bien produit, qui crache ses riffs incisifs et modernes biens appuyés par des effets electros biens sentis ("Age Of Urges"), sans occulter le chant appliqué de Chris Connelly, franchement à la limite du clone de Bowie sur certains passages ("Top Ten Severed")... Pas mal !
Le groupe monte en puissance tranquillement au fur et à mesure, et ses compositions se dévoilent en revendiquant un côté punk matérialisé, des passages saturés qui donnent un effet crade à l'ensemble, puis revient s'amuser avec un son plus métallique ("Sunset Gun").
Si The Damage Manual n'est pas le plus gros 'star band' de ce début de siècle, il réussit à nous refiler quelques vibrations et nous bouger le cul ; cependant l'ensemble reste trop soft et manque un peu de folie pour convaincre totalement, on attend que ça pète les câbles pour de bon et que l'excitation promise au départ nous mène vers le cri du plaisir (auditif) sans passer par la case frustration ... on y est presque !
Un ensemble sympa donc, que viennent conclure 3 bons remixes de Bill Laswell et The Orb histoire de rajouter quelques noms ronflants sur le sticker ... ça peut aider à atteindre l'orgasme musical, péniblement mais sûrement !
Rock'n'roll !
Bref, passons à la matière musicale de cet album pondu par de vieux briscards qui flirtent tranquillement avec des influences punk, electro, indus et pop, quoi de plus normal quand on est membres de Killing Joke, Public Image Limited ou de Ministry d'exploiter son savoir-faire et ses capacités en utilisant ses acquis !
Une agréable surprise que cet album bien produit, qui crache ses riffs incisifs et modernes biens appuyés par des effets electros biens sentis ("Age Of Urges"), sans occulter le chant appliqué de Chris Connelly, franchement à la limite du clone de Bowie sur certains passages ("Top Ten Severed")... Pas mal !
Le groupe monte en puissance tranquillement au fur et à mesure, et ses compositions se dévoilent en revendiquant un côté punk matérialisé, des passages saturés qui donnent un effet crade à l'ensemble, puis revient s'amuser avec un son plus métallique ("Sunset Gun").
Si The Damage Manual n'est pas le plus gros 'star band' de ce début de siècle, il réussit à nous refiler quelques vibrations et nous bouger le cul ; cependant l'ensemble reste trop soft et manque un peu de folie pour convaincre totalement, on attend que ça pète les câbles pour de bon et que l'excitation promise au départ nous mène vers le cri du plaisir (auditif) sans passer par la case frustration ... on y est presque !
Un ensemble sympa donc, que viennent conclure 3 bons remixes de Bill Laswell et The Orb histoire de rajouter quelques noms ronflants sur le sticker ... ça peut aider à atteindre l'orgasme musical, péniblement mais sûrement !
Rock'n'roll !
Bon 15/20 | par Interpolian |
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