Fluffy
Black Eye |
Label :
The Enclave |
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Le punk par des filles : il y eu L7, Babes In Toyland, Bikini Kill, Hole... Les riot grrrl de Fluffy n'auront malheureusement pas fait l'unanimité dans le milieu fermé des musiciennes punky talentueuses à la sortie de leur seul et unique album.
"Nothing", "Husband", "I Wanna Be Your Lush", "Scream", "Hypersonic" auront beau se faire singles : les furieuses mettront la clé sous la porte à la fin de cette même année 1996.
Black Eye est passé inaperçu et ne sera pas davantage reconnu dans le futur. Des morceaux basiques au possible, une chanteuse déguisant sa voix pour tenter de reproduire la méchanceté d'un Johnny Rotten féminin, une production trop limitée pour donner une personnalité aux compositions déjà monotones, et en live un intérêt supérieur à rouler des pelles aux garçons du public plutôt que de s'appliquer à jouer proprement...
Le truc marrant dans l'histoire, c'est que si cet album sortait aujourd'hui, il ferait probablement un malheur tant il est en parfaite osmose avec le revival fastoche de ces derniers temps. Les filles sont belles et sournoises, chacun des douze titres vise le statut d'hymne rock féministe dépravé et anti-tout... Le sabordage du groupe tout de suite après son premier album ne fait d'ailleurs penser qu'à un girl band grungy. L'un des seuls points positifs à l'encontre de se disque est, sans pour autant avoir prit de la bouteille, qu'il se trouve être meilleur et plus authentique comparé à la majorité des productions de fashion victims d'aujourd'hui. Il ferait presque passer la discographie de donzelles comme The Donnas pour un produit estampillé Star ac'...
Comme pourrait le dire l'ami Cabrel dans son prochain album : même les trucs pas top étaient mieux avant...
"Nothing", "Husband", "I Wanna Be Your Lush", "Scream", "Hypersonic" auront beau se faire singles : les furieuses mettront la clé sous la porte à la fin de cette même année 1996.
Black Eye est passé inaperçu et ne sera pas davantage reconnu dans le futur. Des morceaux basiques au possible, une chanteuse déguisant sa voix pour tenter de reproduire la méchanceté d'un Johnny Rotten féminin, une production trop limitée pour donner une personnalité aux compositions déjà monotones, et en live un intérêt supérieur à rouler des pelles aux garçons du public plutôt que de s'appliquer à jouer proprement...
Le truc marrant dans l'histoire, c'est que si cet album sortait aujourd'hui, il ferait probablement un malheur tant il est en parfaite osmose avec le revival fastoche de ces derniers temps. Les filles sont belles et sournoises, chacun des douze titres vise le statut d'hymne rock féministe dépravé et anti-tout... Le sabordage du groupe tout de suite après son premier album ne fait d'ailleurs penser qu'à un girl band grungy. L'un des seuls points positifs à l'encontre de se disque est, sans pour autant avoir prit de la bouteille, qu'il se trouve être meilleur et plus authentique comparé à la majorité des productions de fashion victims d'aujourd'hui. Il ferait presque passer la discographie de donzelles comme The Donnas pour un produit estampillé Star ac'...
Comme pourrait le dire l'ami Cabrel dans son prochain album : même les trucs pas top étaient mieux avant...
Sans intérêt 8/20 | par X_YoB |
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