Llama Farmers
El Toppo |
Label :
Beggars Banquet |
||||
Deuxième galette des anglais de Greenwich alors que le plus âgé n'a que 18 ans, El Toppo prouve l'étonnante maturité du groupe.
Il s'agit d'un disque pop et rock qui alterne les passages musclés et accrocheurs avec des moments d'accalmie très doux.
Le titre emblématique de cet album est le single "Snow White" qui en résume très bien la dualité: d'un côté les morceaux très rock avec de bons riffs, des guitares lourdes et une rythmique soutenue, le tout porté par la voix singulière de Bernie Simpson ("El Toppo", "Note On The Door").
D'un autre côté on trouve une série de morceaux délicats, plutôt acoustiques, avec la voix de Jenni Simpson qui alterne avec son frère (le très beau "Postcards And Moonrocks").
Là où les Llama Farmers font mouche c'est qu'ils réussissent à créer une ambiance particulière loin des standards de la pop anglaise, une ambiance qui s'empare de l'auditeur du premier morceau jusqu'au dernier.
Quelque soit le type de musique, on adhère tout de suite et même si les variations ne sont pas fulgurantes ou d'une complexité monstrueuse, elles suffisent à se laisser emporter pendant trois bons quarts d'heure.
En attendant (et surtout en espérant) qu'ils redonnent un jour signe de vie ...
Il s'agit d'un disque pop et rock qui alterne les passages musclés et accrocheurs avec des moments d'accalmie très doux.
Le titre emblématique de cet album est le single "Snow White" qui en résume très bien la dualité: d'un côté les morceaux très rock avec de bons riffs, des guitares lourdes et une rythmique soutenue, le tout porté par la voix singulière de Bernie Simpson ("El Toppo", "Note On The Door").
D'un autre côté on trouve une série de morceaux délicats, plutôt acoustiques, avec la voix de Jenni Simpson qui alterne avec son frère (le très beau "Postcards And Moonrocks").
Là où les Llama Farmers font mouche c'est qu'ils réussissent à créer une ambiance particulière loin des standards de la pop anglaise, une ambiance qui s'empare de l'auditeur du premier morceau jusqu'au dernier.
Quelque soit le type de musique, on adhère tout de suite et même si les variations ne sont pas fulgurantes ou d'une complexité monstrueuse, elles suffisent à se laisser emporter pendant trois bons quarts d'heure.
En attendant (et surtout en espérant) qu'ils redonnent un jour signe de vie ...
Très bon 16/20 | par Diego |
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