Rumah Sakit
Obscured By Clowns |
Label :
Temporary Residence |
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Encore des 21st Century Schizoid Men jouant avec nos nerfs en les vrillant à grands coups de polyrythmes et de riffs improblables ? ...
Ben ouais ! Et en plus ils le font bien. Pour mettre cartes sur tables, c'est bien le premier groupe depuis longtemps qui me fait sortir du deuil conséquent au coma de Don Caballero (si cette tête de mûle de Damon arrêtait de jouer son petit despote ...).
Bon, ça commence en scalpant le Floyd (les méfaits remontent déjà à "A Sausage Full Of Secrets", ou encore "Be Careful With That Fax Machine !", titres de chansons des EP précédents qui me font mourir de rire !), ou Devo ("Are we not serious ? We are Rumah Sakit !" ... là aussi pal mal trouvé !).
Ca continue avec un gentil bras d'honneur au péteux Christian Vander ou au Gros Damon (pour le moulineur de derrière les fûts), en n'épargnant pas le génial Robert Fripp, ou le pervers Ian Williams (pour les riffs funambules, bancaux, qui retombent toujours à point et rebondissent de plans en plans de manière frénétique).
On appréciera des influences jazz marquées, un brin de légèreté et d'auto-dérision, et surtout une maîtrise et une folie créatrice laissant pantois.
OK, relax, I need some information first ... Have a cigar, set out the controls for the heart of your brain, and you'll become comfortably numb !
Indispensable dans son genre !
Ben ouais ! Et en plus ils le font bien. Pour mettre cartes sur tables, c'est bien le premier groupe depuis longtemps qui me fait sortir du deuil conséquent au coma de Don Caballero (si cette tête de mûle de Damon arrêtait de jouer son petit despote ...).
Bon, ça commence en scalpant le Floyd (les méfaits remontent déjà à "A Sausage Full Of Secrets", ou encore "Be Careful With That Fax Machine !", titres de chansons des EP précédents qui me font mourir de rire !), ou Devo ("Are we not serious ? We are Rumah Sakit !" ... là aussi pal mal trouvé !).
Ca continue avec un gentil bras d'honneur au péteux Christian Vander ou au Gros Damon (pour le moulineur de derrière les fûts), en n'épargnant pas le génial Robert Fripp, ou le pervers Ian Williams (pour les riffs funambules, bancaux, qui retombent toujours à point et rebondissent de plans en plans de manière frénétique).
On appréciera des influences jazz marquées, un brin de légèreté et d'auto-dérision, et surtout une maîtrise et une folie créatrice laissant pantois.
OK, relax, I need some information first ... Have a cigar, set out the controls for the heart of your brain, and you'll become comfortably numb !
Indispensable dans son genre !
| Excellent ! 18/20 | par Lolive |
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